Peut-être que oui, peut-être que non. Oui, par respect de nos valeurs, non, par intérêt de la part des Etats-Unis. L’intérêt va-t-il primé sur les valeurs ?
Ils se sont tous retrouvés en Normandie où c’est le « peut-être bien que oui, peut-être bien que non » qui est d’usage courant. Espérons que quelques souvenirs pourront éviter cette expression.
La vision du débarquement sur les plages de Normandie devrait donner des idées à Monsieur Zelenski pour envahir la Crimée, nous serons à ses côtés
Il n’y aura aucune pause possible. On sait parfaitement que, si l’on signe un accord avec la Russie, il ne sera jamais respecté. Ce sera simplement une pause pour refaire ses stocks d’armement.
L’Europe a-t-elle tiré les leçons du passé ? Pas si sûr. La France est toujours dans le cadre des 2% consacrés à sa défense alors qu’il en faudrait 5 à 6%.
La paix de 80 ans n’aura guère appris parce qu’on a oublié ce qui s’est passé. On a vécu comme de petits princes. Va-t-on se réveiller ? On promet beaucoup mais l’on donne si peu.
Mais combien d’Ukrainiens auront donné de leur sang pour la liberté !!!
Ce ne sont pas les gouvernements qui…
Ce ne sont pas les gouvernements, ni les ministres des finances qui ont accru le déficit de la France, ce sont les privilèges, les monopoles qui protègent le monde médical et qui ont fait de la santé un fonds de commerce.
On a bridé pendant 50 ans les médecins avec la clause du numerus clausus en université. La médecine est à la traîne, y compris en France.
Les forces nocives de la nature n’ont pas intéressé la médecine. Elle a oublié que la nature avait une double face. Et pourtant, il y a des médecins visionnaires mais que le Conseil de l’Ordre met souvent à l’index.
La médecine, en général, s’est enfoncée dans le magma de l’argent en créant une classe à part Le « je ne sais pas » habituel de cette branche d’activité est la cause du déficit de 200 milliards de la Sécurité Sociale et de 80 milliards de plus, du manque d’activité dû aux jours d’absence.
La médecine a épuisé les travailleurs par la maladie, la vieillesse et ce, dès la naissance.
On dit que la vie est un don de la nature : c’est la recherche qui profite des dons de tous.
La médecine n’est pas sur le bon chemin. Elle a refusé de s’allier à la technique qui aurait permis de réguler les constantes de la vie.
Pasteur a conduit à la pasteurisation pour éviter les actions nocives de la nature. Nous veillerons à la « leclerégulation » pour rétablir, à leurs valeurs et à leurs taux, les constantes des puissances de la nature qui tuent nos cellules, soit pas surpression, soit par occlusion des capillaires.
Cette régulation évitera la mort massive des cellules privées d’oxygène. Elle évitera aussi le dérèglement de tous nos organes producteurs.
Les Américains ont estimé qu’on pouvait laver le sang, moi, je propose qu’on évite d’avoir à le laver.
Ce ne sont pas les gouvernements qui sont en cause. Ils subissent simplement la défection du monde médical qui est devenu un monopole.