Nous sommes des démocraties libres, vous, vous êtes une autocratie totalitaire qui profite d’un peuple qui a été affaibli par un lourd passé.
Votre durée de vie est faible, faute de ne pas avoir protégé vos concitoyens. Vous considérez les hommes comme des bêtes que l’on tuera tôt ou tard. Si l’Occident a gagné du temps de vie, vous, vous en avez perdu.
Si l’Occident n’a pas fait de miracle avec sa médecine, en Russie, c’est encore pire : la médecine n’existe que très peu.
Votre armement, Monsieur Poutine, est comme vos hommes, il n’est pas entretenu, et vous voudriez écraser l’Ukraine, la Géorgie, les Pays Bates et la Pologne !
Vous avez oublié, Monsieur Poutine, que l’Occident vous mettra à genoux, aujourd’hui ou demain.
Vous n’utiliserez jamais votre arme nucléaire, pour une bonne raison que dans la minute qui suit, vous seriez mort… et vous êtes un froussard qui envoie ses troupes à l’abattoir.
Certes, la Russie est en économie de guerre mais pour quel résultat ? L’Occident tout entier est aux côtés de l’l’Ukraine qui vous aura affaibli et rendra le travail plus facile à l’OTAN.
C’est tout votre peuple que vous conduisez à la défaite.
Toutefois, je pense qu’un jour ce peuple rebondira et deviendra un allié de l’Europe que nous accueillerons bien volontiers dans notre liberté.
Le sacrifice des Ukrainiens
Il y a eu le massacre des Juifs entre 1940 et 1945. Aujourd’hui, rien n’a changé : les Russes essaient de massacrer l’Ukraine et les pays limitrophes. Quelles qu’en soient les raisons, elles ne sont aucunement légitimes.
Notre incapacité à résoudre les problèmes territoriaux et de religion démontrent à quel point l’homme d’aujourd’hui s’est affaibli, voire ridiculisé.
Demain, votre désir, Monsieur Poutine, est d’achever les peuples par votre arme nucléaire. La nature et la folie humaine viendront-elles, un jour, à bout de l’homme ?
Pendant ce temps, notre petitesse entraîne des massacres qu’on aurait pu croire d’un autre temps.
Les guerres terrestres se termineront tôt ou tard mais pas la guerre de la nature contre l’homme. Alors, essayons d’appliquer des solutions à la hauteur de l’enjeu.
Rappelons-nous l’adage : « la confiance, oui, le contrôle, sûrement ».