PMCe n’est pas la planète qui est en péril, c’est l’homme que la planète détruit avec sa nature en folie.
Ce n’est pas la planète qu’il faut protéger mais l’homme. Il se doit d’éviter la puissance destructrice de la nature.
La planète, sans sa nature, n’est rien qu’un petit caillou comme tant d’autres dans l’espace. Toutefois, la terre est plus que cela : il y a la vie et c’est cette vie qui est en péril.
La planète ne disparaîtra pas mais l’homme qui ne respecte pas les constantes de la vie finira par disparaître, dévoré par la nature.
Osons nous opposer à ses dérives que l’homme ne peut supporter et qui l’entraînent la mort.
Osons-nous mettre à l’abri des pressions atmosphériques qui coupent la circulation du sang vers les cellules et les organes producteurs.
Evitons également les forces magnétiques, solaires, terrestres et celles produites par l’homme.
Bref, la planète n’est qu’un caillou porteur de vie. C’est la perle rare de notre galaxie et peut-être de l’univers.
A ce jour, arrêtons de prendre les problèmes à l’envers. Osons faire face à tout ce qui entrave notre vie et nous pourrons peut-être avoir une vie éternelle. Avec les techniques que nous avons, nous pouvons gagner cette bataille, faut-il encore le vouloir.
Notre vie mérite de ne plus être malmenée. Protégeons-là grâce aux moyens mécaniques. Nos maladies, la mort, la souffrance, ne sont dues qu’à nos erreurs et aux défauts de maintenance de nos constantes.
La guerre épiphénomène
La guerre n’est qu’un épiphénomène. Elle est toujours de trop et elle ne représente rien, en morts et en blessés, par rapport à la guerre que l’homme doit faire face à la nature.
Il faut considérer les chiffres. La guerre, c’est, chaque année, près de 500 000 morts en moyenne et 4 millions de blessés. La nature, c’est 80 millions de morts, chaque année dont 600 000 en France et 500 millions de blessés par la maladie. Cela ne peut durer.
On fabrique des armes pour gagner les batailles, pour tuer. Que fait-on contre la nature qui nous transforme en épave ?
Les chiffres parlent d’eux-mêmes et c’est d’autant plus navrant qu’à présent on sait faire face à cette nature destructrice.
Alors, faisons-le.