Contraindre Poutine à la paix passe par une victoire de l’Ukraine et de l’Occident sur la Russie de Poutine.
Tout autre chose n’est que verbiage.
Pour arriver à la victoire, il faut apporter à l’Ukraine armes, munitions et soldats.
Si l’Europe des 27 pays n’y parvient pas, alors, c’est qu’on nous aura menti.
Il faut que la Banque Européenne prévoie 1 000 milliards pour en finir avec cette guerre.
Cela paraît énorme mais c’est nécessaire pour acheter obus, missiles et matériel, sur le marché mondial.
Il y a en stock plus de 5 millions d’obus.
Il faut les racheter pour l’Ukraine.
Il y a dans les 27 pays européens plus d’un million de soldats de métier et autant de réservistes.
Il n’en faut pas davantage pour l’emporter.
S’il est nécessaire que la Banque Européenne fasse un emprunt, il faut le faire tout de suite.
Nous sommes en guerre :
il faut la gagner en en prenant les moyens.
Aujourd’hui, être contre cette guerre, c’est être contre la France et contre l’Europe.
La paix est, pour l’instant, de l’angélisme pur ; elle ne viendra que quand la Russie sera battue et que Poutine sera parti ou mort.
En tant de guerre, aucune demi-mesure n’est possible.
C’est comme pour la vie : c’est une guerre contre la nature. On choisit la vie ou la mort.
C’est un choix. Quant à moi, j’ai choisi la vie la plus longue possible, en pleine forme et en paix.
Va-t-on vers la reconquête de la Crimée ?
Va-t-on vers une reprise de la Crimée par les Ukrainiens, avec l’aide des occidentaux, avant l’élection présidentielle russe ?
Pas impossible.
Tout laisse supposer que ce sera le cas avec trois ou quatre pays européens, dont la France.
Il y a aujourd’hui 30 000 soldats russes en Crimée.
Cela ne devrait pas faire très peur à la France et aux autres pays alliés.
La Crimée, une fois reconquise, c’est toute la mer d’Azov qui est libérée.
Le pont de Kertch sera détruit, non pas en le bombardant mais en faisant exploser dessous une charge énorme, au niveau d’une pile.
L’aviation française, avec ses Mirages et ses Rafales, couvrira l’opération.
Après le parachutage d’un millier de soldats au centre de la Crimée, viendra s’ajouter le débarquement sur la côte ouest.
Et les jeux seront faits.