Gabriel Attal mérite qu’on l’écoute et que l’on soit chacun un relais. Ce sera dur, ce sera difficile, l’opposition sera forte.
Qui propose mieux ? Qui, sans mentir, en aimant la France, osera faire barrage à un tel programme ? Tout n’y est peut-être pas mais ce programme est déjà révolutionnaire.
Oui, les Français doivent prendre leur vie à bout de bras, le plus longtemps possible. Pour ma part, je lui dirai bravo : il ose enfoncer des portes et détruire les tabous.
Nombreux seront ceux qui vont tout tenter pour lui faire barrage, y compris dans son propre camp. Il faut éviter qu’il soit une étoile filante. Lui faire confiance pour son audace est indispensable.
Gabriel Attal est l’homme d’un futur, les grognards sont les hommes du passé.
Rien, absolument rien, ne sera possible sans une santé en pleine forme pour tous les Français.
Depuis des années, depuis 50 ans, la France perd, tous les jours, un peu de son éclat. Faisons en sorte qu’on aime encore une fois la France, la France des lumières.
Osons, osons, accepter le bon sens et l’évidence.
Bravo, Monsieur Attal : c’est courageux !
J’aurais souhaité, un tant soit peu, plus de vigueur pour l’Ukraine, pour la paix, pour la liberté. Vous êtes courageux Monsieur Attal, les Ukrainiens aussi.
L’Europe – Traité de Rome
Il ne peut y avoir d’Europe sans la stricte application du Traité de Rome. On l’a souvent oublié.
Ce traité détermine la justice économique, sociale et concurrentielle. Si, à l’époque où il a été rédigé, la santé n’était pas un problème commercial, elle l’est devenue plus que tout autre.
Je suis convaincu que personne n’osera s’attaquer au Traité de Rome, pour une seule raison, c’est que personne ne l’a jamais appliqué…
Faudra-t-il reconsidérer l’Europe en imposant dans chaque pays le même SMIC ? Ce qui sera une base importante pour les salaires.
Faudra-t-il signer le « traité des constantes » qui permettra d’éviter au lieu de soigner ? L’humanité ne survivra pas sans le respect des constantes.
Le Traité de Rome qui s’adresse seulement à l’Europe devra prendre en compte la folie des médicaments. Il devra prendre en compte un système sanitaire qui, aujourd’hui, est produit en dehors de la France et de l’Europe.
On n’a pas voulu prendre le bon chemin et pourtant, avant tout dispositif de concurrence loyale ou déloyale, la santé des Français doit primer sur tout.
Le Traité de Rome a ébauché les conditions de vie mais ne s’est jamais attaqué aux problèmes de santé. Il est avant tout un traité économique. Mais il ne peut y avoir de traité économique tant qu’on n’aura pas rendu la santé aux Européens.
Aujourd’hui tout est fait pour soigner que ce soit dans l’économie ou dans la santé et si peu pour éviter d’avoir à soigner.
Faire vivre les Européens en bonne santé et pour une durée de vie prolongée bien au-delà des 100 ans, le tout en pleine forme, est la première économie pour l’Europe. Pouvoir disposer de toutes nos facultés ne proviendra pas des médicaments mais de moyens techniques qui permettront d’éviter d’avoir besoin des médicaments.
