Français, êtes-vous prêts à consacrer 3 à 4% de votre PIB pour aider massivement l’Ukraine ? Etes-vous prêts à protéger votre liberté qui aujourd’hui passe par un problème d’argent ?
La France a rouvert une vingtaine d’usines de production de munitions et d‘armes. Armes et munitions ne sont qu’un problème d’argent et de commandes.
3% du PIB, ce sont plusieurs dizaines de milliards que nous pourrions verser à l’Ukraine pour faire face à la folie d’un homme qui, à présent, flirte aussi avec un chef d’Etat, tout aussi fou, celui de la Corée du Nord.
Il semble qu’aujourd’hui Monsieur Macron en ait pris conscience : il en était temps.
Français, sans actions immédiates, sans fournitures de nos réserves en munitions et en armes, ce sont 5 à 10% de notre PIB qui deviendront nécessaires d’ici 3 ou 4 mois pour tenter de conserver notre liberté et notre démocratie.
Consacrer 3 à 4% de notre PIB, c’est mettre sous le boisseau quelques plaisirs de vie sans rogner toutefois sur notre bonheur : c’est une absolue nécessité.
Ce n’est pas la première fois que l’on doit résoudre ce problème : la Russie veut franchir les frontières de l’Europe et des États-Unis en passant par l’Ukraine et l’Alaska.
Aujourd’hui, l’Ukraine sert de tampon pour conserver notre liberté : aidons-là.
L’inflation en 2024
On aurait pu croire, selon les promesses de Monsieur Le Maire, que l’inflation se réduirait en 2024 mais comment cela serait-il possible avec :
- 10% de plus pour l’électricité
- 10% de plus pour les mutuelles
- Le doublement de la franchise des médicaments
- 5% de plus qui proviendront d’une augmentation générale de l’énergie électrique
- 10% de plus sur toutes les assurances (automobile, multirisques, etc.)
- 10% de plus sur les prestations médicales
- 5 à 8% de plus sur tous les salaires
- 10% de plus sur tous les produits agricoles suite aux manifestations et revendications actuelles.
Tout ceci additionné nous conduira à une inflation en 2024 de l’ordre de 8 à 10%.
L’énergie électrique va devenir la ressource principale des revenus de l’Etat. Et, dans tout cela, personne ne parle de réduire le coût du fonctionnement de l’Etat.
Qui plus est, tous les salaires de l’Education Nationale et du sanitaire, en général, sont 50% moins élevés que dans tous les autres pays d’Europe. Alors que faire ?
La solution est d’anéantir les causes. Pour l’énergie, ce sera le remplacement des mastodontes des centrales nucléaires par des mini-centrales au thorium et refroidissement à sels fondus. Ceci réduira de 90% les pertes de KW en lignes et l’utilisation de multiples transformateurs.
Anéantir également les causes des grandes maladies, de la vieillesse, de la fatigue et du mal-être. Ce sera 100 milliards d’économie pour la Sécurité Sociale et 30 à 40% de plus de production et de productivité, en régulant les constantes de la vie. Et tout spécialement la constante des pressions atmosphériques que la médecine a oubliée, disant ne pas y avoir pensé.
