Aujourd’hui nous devons faire une croix sur ce que l’on nous a appris jusqu’à ce jour.
On a compris qu’il fallait commencer par le début, c’est-à-dire de faire vivre. La vie reviendra à l’ordre du jour. Les techniques vont évoluer si vite qu’on ne pourra les suivre qu’avec une santé totalement réhabilitée avec les constantes qui l’imposent.
La guerre de demain sera une guerre contre les effets néfastes de la nature et les effets que nous créons avec la production énergétique, alimentaire et pharmaceutique.
Mener cette guerre, c’est tout simplement respecter les constantes qu’impose la vie. Ce que nous produisons, ce que nous mangeons, ce que nous buvons, pour notre bien-être, contient, en fait les poisons qui nous tuent. Il faut revoir, de fond en comble, notre manière de vivre.
La vie, d’ici la fin de ce siècle, va être bouleversée et on aura compris qu’il faut d’abord vivre avant d’attaquer un nouveau cycle de vie.
Beaucoup d’humains vivent du non-respect des constantes, pour de l’argent. La vie aujourd’hui n’est qu’un problème politique ; nous produisons et nous jetons. Notre vie n’est pas aux ordres de la politique et encore moins de la médecine.
Décidément, on prend les choses à l’envers. Il serait préférable d’utiliser 1% de notre PIB pour éviter une vie désastreuse que d’utiliser 5 à 10% de notre PIB pour la soigner.
C’est à la source qu’il faut aller chercher les causes.
On trouve normal de se chauffer ou de se rafraîchir, et pourtant cela coûte très cher ; c’est pour notre bien-être, mais il me paraîtrait plutôt normal de réguler les pressions atmosphériques, avant toute chose, pour permettre à nos cellules de vivre.
Le « sur bien-être » de l’occident
Nous vivons en occident, comme des princes. Un jour, on dira : « si j’avais su, j’aurais renforcé mon aide à l’Ukraine. Et nous en avons les moyens, depuis longtemps.
On aurait pu éteindre l’incendie dès le premier jour. Aujourd’hui, l’incendie se propage partout.
Par cupidité, l’occident n’a pas su protéger sa liberté et sa démocratie. Et l’on n’a pas honte de se servir d’un bouclier humain pour limiter les dégâts.
Oui, le totalitarisme peut très bien être là demain : adieu notre liberté ! Et tout cela, pour un homme qui se croit un dieu, et même un tsar, et pour qui la vie n’est pas sacrée.
Mais qui sommes-nous pour oser profiter de la vie des autres ?
L’occident risque de le payer très cher ; ce qui n’aurait pu être qu’un simple épisode risque de devenir une troisième guerre mondiale.
Il est encore temps d’aider l’Ukraine quitte à puiser dans nos bas de laine. Et ceci est valable pour tous les pays occidentaux.
Il faut éviter la contagion. L’Ukraine ne pourra résister éternellement à un fou enragé par l’ambition et l’orgueil.
Voici plus de deux ans, que l’Ukraine se bat, jour et nuit, non pas pour sauver seulement sa liberté mais aussi pour la nôtre.
Que d’hésitations pour fournir des armes, que nous avons et qui seront bientôt périmées.
On a oublié les leçons de la deuxième guerre mondiale. Le Général de Gaulle avait alors demandé qu’on mécanise l’armée. Personne n’a voulu l’écouter, et on a vu les résultats.
Mais aujourd’hui, tout n’est qu’une affaire d’argent. Jusqu’où ira-t-on dans cette cupidité absurde ?
Va-t-on préféré voir les Russes défiler sur les Champs Elysée