En Afrique, quand on veut mettre une personne en danger, on lance une fatwa.
Cette fatwa la met carrément hors-jeu de la société.
En France, on lance des anathèmes contre ceux qui travaillent et qui veulent une autre France ou qui s’attaquent aux causes du mal, et tout simplement pour une question d’argent.
Soigner, bien que nécessaire, n’atteint pas toujours le résultat souhaité.
Apporter aux Français une autre vie, en pleine forme et beaucoup plus longue, c’est se battre contre la fatigue, contre les grandes maladies, contre la vieillesse.
Et les gens qui pratiquent ou apportent cette solution sont pris pour des fous.
En France, oser s’attaquer à la nature est un péché mortel. La nature est considérée comme un pré carré auquel on ne doit pas toucher.
Alors on lance un anathème contre celui qui aura osé.
C’est la position des politiques ou des religieux mais ce n’est pas la solution d’un pays laïc.
Le peuple sait toujours faire la différence. Et c’est au peuple que j’offre cette solution.
- S’en prendre à la spéculation est un crime de lèse-majesté…
- S’en prendre à ceux qui gagnent, après s’être battu, est une coutume.
Toutefois, en France, il y a encore de grands patrons ou de grandes banques qui savent que demain ils n’existeront que parce qu’ils auront fait quelque chose.
C’est ce que l’on fait en France qui nous dérange, mais en Afrique, on ne fait pas mieux ni moins bien.
Il faut dès lors prendre son courage à deux mains et continuer à oser affronter ce qui paraissait impossible hier et qui, aujourd’hui devient une évidence et ce, quoi qu’il en coûte, dans l’intérêt du peuple français.
Nous sommes les jouets de la nature
En France, nous sommes les jouets d’une nature en folie et nous sommes aussi soumis à la spéculation ; l’un et l’autre nous détruisent.
Ce n’est pas à l’ENA, ni dans les laboratoires, que se trouve la solution. A l’ENA on apprend à gérer l’Etat.
Dans les écoles de commerce, on apprend aussi à gérer ses propres entreprises. A la faculté de médecine, on apprend à soigner, bien souvent pour des résultats médiocres.
Ce n’est pas non plus dans les laboratoires qu’on trouvera la solution car ils sont des nids de spéculateurs sur la vie des gens.
Plus de trois quarts des décès en France, chaque année, ont pour cause les dérives des constantes de la nature qui conduisent au cancer, à la vieillesse, à la leucémie, à l’arthrose, à l’Alzheimer, au Parkinson et même à la maladie de Charcot.
Oui, on peut stopper le développement de toutes ces maladies mais il vaut encore mieux les éviter en régulant ces dérives.
Je radote, me direz-vous, et demain vous me direz que c’était évident !
La théorie mathématique des constantes n’est pas magique mais efficace et matériellement réalisable avec, tout simplement, une régulation de ces constantes.
La priorité, je la donne à la constante des pressions atmosphériques. Leurs dérives tuent 250 000 personnes chaque année et affaiblissent la totalité de la population, dès la naissance.
Vous allez me dire qu’il y a plusieurs constantes ; c’est vrai, bien sûr.
On a déjà régulé les constantes de la température à l’intérieur et à l’extérieur du corps.
On a régulé le climat ou, tout du moins, on tente de le faire.
Car, pour le climat, on n’a pas nécessairement pris le bon chemin.
C’est vrai pour la pollution mais ce que l’on doit faire pour le climat est encore absent.
Les problèmes du climat proviennent exclusivement de la progression des déserts qu’il nous faudra réguler en sachant que sous ces déserts, il y a d’immenses nappes phréatiques.
Un jour, il nous faudra réguler le phénomène du magnétisme solaire.
Oui, nous sommes les jouets de la nature.
Alors, jouons avec les dérives de cette nature en la maîtrisant et en restant les maîtres du jeu.
Tout ce qui précède permettra de faire échec et mat contre les dérives de la nature.
