Oser dire que l’on aide l’Ukraine est un euphémisme.
C’est l’Ukraine qui, par son sang, nous aide à garder notre liberté chérie en vivant comme de petits princes dans un lit douillet.
C‘est une honte de parler d’ingratitude de la part de nos frères ukrainiens avec qui nous faisons des affaires de munitions et d’armes, tout en sachant très bien que le sang coulé en Ukraine réduira la possibilité pour Poutine d’envahir l’Europe.
Ce que nous donnons ou vendons à l’Ukraine ne représente pas le centième de ce qui serait nécessaire si la Russie gagnait face à l’Ukraine.
J’ai honte pour mon pays qui va généreusement donner 50 missiles à longue portée sur les 400 que nous possédons.
A quoi serviraient les 350 autres que nous conservons, si la Russie défilait sur les Champs-Élysées ?
Les Ukrainiens sont nos frères, épris de liberté tout comme nous.
Alors le moins qu’on puisse faire, c’est de partager entre frères, avec équité.
Quand comprendra-t-on que la vie d’un seul Ukrainien vaut dix fois le prix d’un seul char et de ses munitions ?
Je sais que pour certains pays le prix du sang n’a aucune valeur.
N’essayons pas de les imiter.
Non, Monsieur Zelenski n’est pas un ingrat, c’est à genoux que nous devrions lui dire merci car, après la guerre qui, inévitablement, sera perdue par la Russie,
nombreux seront autour de la table pour se partager le butin, en ayant mis la Russie à genoux et sous tutelle de l’Europe.
On oubliera facilement la mort des Ukrainiens…
Le fleuve en furie
Quand un fleuve ou une rivière est en furie, les inondations dévastatrices sont probables.
L’homme y a porté remède en installant des retenues et des régulateurs de débit dans d’immenses surfaces.
L’écoulement de l’eau vers la mer peut alors se faire normalement, sans inondation.
Il en est de même quand les variations dévastatrices des pressions atmosphériques ravagent le corps humain par des maladies et des pandémies.
Il est du devoir de l‘homme de réguler ces pressions atmosphériques.
Ces inondations, ces pandémies, ont souvent la même cause et partent d’une source qui s’enfle et détruit sur son passage toute végétation et maison.
Pour ce qui est des variations des pressions atmosphériques, ce sont les cellules qui meurent, rendant le fleuve sanguin chargé de débris, constitués par les cellules mortes.
Il entraîne avec elles les globules blancs insuffisants pour arrêter l’hémorragie. Il emporte, en même temps, notre bonheur de vivre, en pleine forme et très longtemps.
La mort à 80 ou 90 ans est un tabou, une habitude. Il nous faut les vaincre et porter notre vie à 150 ans et plus,
en colmatant et régulant la furie des fleuves et la furie des pressions atmosphériques qui entraînent un désastre naturel et économique, y compris la mort.