Nous avons laissé Hitler dévaster le monde. Va-t-on laisser Poutine agir en
copie conforme !
France, réveille-toi : demain, il sera trop tard. La diplomatie a échoué et,
d’ailleurs, avec Poutine la diplomatie est-elle encore d’actualité ?
On préfère faire des réserves, comme les écureuils, au cas où demain serait
pire. Ce sont toutes nos forces qu’il faut mettre en ligne.
Non, Monsieur le Président : nos armes, nos munitions, c’est maintenant
qu’elles doivent servir. Demain, il sera trop tard.
Oui, 80% de nos réserves militaires doivent être mises à la disposition de
l’Ukraine pour mettre fin à notre ennemi commun. L’Ukraine a versé son sang :
donnons-lui tout de suite tout ce dont elle a besoin avant que ce ne soit nous
qui devions verser le nôtre.
Monsieur Macron, c’est une fois de plus qu’il faut éviter, avant de devoir
mourir pour défendre notre liberté. La guerre est à nos portes et nous ne
devons pas fléchir face à Poutine quel qu’en soit le coût.
On a commis l’erreur, la même d’ailleurs qu’en 1939 : on a cru en les
dirigeants ; que ce soit Hitler ou Poutine, c’est la même chose.
Arrêtons de vivre dans l’opulence, même si une certaine opposition le
demande, il est plus important de défendre la liberté.
Peu d’entre nous savent aujourd’hui ce qui s’est passé en 39-45. On a oublié les
horreurs de cette période. On a oublié les colonnes de réfugiés qui venaient en
France ou en Espagne. On a oublié nos parents qui devaient faire la queue
partout pour pouvoir faire vivre leurs enfants.
Aujourd’hui, on crie au secours quand il n’y a plus de moutarde à l’étalage mais
demain : que fera-t-on quand Poutine régira la France ?
Moi, je constate les faits et je n’oublie pas. Si vous voulez un jour être un grand,
Monsieur le Président, il faut faire comme Churchill : il faut tout donner pour
préserver notre futur.
Monsieur le Président, vous avez comme slogan le « vivre avec » et vous en
prenez l’habitude. Mais il n’y a pas un Français qui pense comme vous. Les
Français ne vous pardonneraient jamais d’avoir laissé Poutine arriver en
France. Et pourtant, c’est ce qui est en train de se produire : on ne sait pas ce
Michel Leclerc – n° 11 – 8 novembre 2022 – Parution le 14 novembre
que vont faire les Américains mais on sait ce que doit faire l’Europe et on ne
pourra pas dire qu’on ne savait pas.
Alors, aidons la croisade des Ukrainiens !
Nous vivons dans un monde …
Nous vivons dans un monde cent fois plus occupé par les humains, par les
animaux, par les insectes. Et il y a ce que l’on ne voit pas, êtres vivants
invisibles à nos yeux. Certains sont sans conséquence pour l’homme et
d’autres, virus et bactéries, sont très dangereux quand on les laisse faire.
On vit dans un environnement soumis à des phénomènes super dangereux
pour notre vie telles les variations de pressions atmosphériques. Mais pas
seulement : ce sont aussi des nuages de sable qui nous arrivent d’un autre
continent après avoir parcouru des milliers de km.
On ne prend pas la dimension de la nature. On s’enferme dans des laboratoires
au lieu de constater l’évidence. Alors, on se contente, de temps à autre, de
renforcer ce que la nature a détruit, par des prétendus vaccins ou potions. Ne
serait-il pas plus intelligent de prendre les dispositions pour éviter que nous
ayons besoin de soigner ? Et nous savons le faire, faut-il pour cela avoir un brin
de crédulité et mettre sous le boisseau la cupidité.
Le corps humain est exceptionnel : il ne demande qu’un petit coup de pouce
pour vivre en pleine forme et longtemps, en faisant barrage ou en régulant les
désastreuses pressions atmosphériques. « Fallait-il encore y penser » m’ont dit
les médecins et les professeurs scientifiques…
Ce n’est pas un miracle qu’il faut attendre. Une vie meilleure, c’est tout
simplement réguler l’esprit destructeur de la nature.
Quand une guerre survient, c’est que l’on n’a pas fait le nécessaire pour
l’éviter. Ce fut le cas en 39, c’est encore le cas aujourd’hui en Ukraine. Il en est
de même pour les épidémies ; on ne fait rien pour les éviter. Et l’on vient se
plaindre ?… et l’on se croit intelligent ! En 1936, de Gaulle avait demandé la
mécanisation de l’armée pour éviter la guerre et aujourd’hui, on demande de
réguler la pression atmosphérique pour pouvoir mieux vivre.