Monsieur Macron, vous avez osé retirer la France de la charte nous imposant une indexation du prix du KW sur le prix du gaz.
Du gaz, on en a et on en aura encore davantage, mais il suivra le prix de l’offre et de la demande. Tandis que le KW est produit à moindre prix, chez nous, par des centrales nucléaires. Le prix du KW doit commencer, dès à présent, à baisser. Nous ne manquerons pas d’électricité, cet hiver.
Et je pense qu’il faudra déjà envisager d’exporter beaucoup de KW vers l’Ukraine via le réseau électrique européen. Tous nos réacteurs vont pouvoir être mis en fonctionnement avant fin janvier 2023 et les ouvriers et techniciens qui travaillent à leur réparation ont conscience que, par leur travail, ils apporteront aussi leur quote-part à l’Ukraine.
Bravo, Monsieur Macron, voilà une bonne décision qui n’a pas eu la publicité qu’elle mérite.
Monsieur Macron, il vous reste à faire éviter les grandes maladies, toutes provoquées par les dérives de la nature qu’il faut réguler sans la moindre intervention médicale. C’est donc ce secteur-là qu’il va falloir convaincre.
C’est peut-être trop beau pour être vrai ? Alors, essayons et on en verra rapidement les résultats.
La France, notre beau pays, a déjà fait preuve, dans le passé, de solutions médicales qui ne provenaient pas des produits pharmaceutiques. Il est vrai que vous allez avoir fort à faire, mais la vie des Français en dépend. Et c’est aussi toute notre économie, Monsieur le Président, qui en dépend.
- 2% d’inflation en 2024
Monsieur le Maire, ce serait exceptionnel si votre prévision était bonne.
Aujourd’hui, tous ceux qui vont au supermarché s’aperçoivent, à la caisse, que les prix ont augmentéde 20%. Et ils savent que leur salaire n’a augmenté, en moyenne, que de 5%, les retraités également.
De 5% à 20%, il y a une perte de pouvoir d’achat de 15%, c’est le ressenti qu’ont tous les Français. Je vous indique, au passage, que les retraites sont plafonnées et que beaucoup de Français n’ont pas bénéficié des 4%.
Que ce soit le logement, la voiture et 80% des produits en supermarché, ils sont impactés. Il ne faut pas s’étonner que le Français se rebiffe un tant soit peu et je trouve qu’il est d’ailleurs très raisonnable.
Ce sera un triste Noël en pensant que nos enfants ne pourront pas avoir tout ce qu’ils souhaitent mais aussi en pensant que des milliers d’hommes vont mourir pour défendre notre liberté.
Espérer 2% d’inflation en 2024 me semble être un rêve mais, après tout, la vie n’est qu’un rêve.
Vous affirmez aussi, Monsieur le Maire, que l’on va réindustrialiser le pays et cela signifie que, depuis quelques années, on a abandonné notre industrie. Mais vous étiez au pouvoir, Monsieur le Maire. Alors pourquoi, aujourd’hui, faut-il réindustrialiser ? Il faudra me l’expliquer.
Ce qui est malheureux, Monsieur le Maire, c’est que vous avez l’outil nécessaire pour parer à toute cette inflation et cela passe nécessairement par une baisse des prix qui ne sera rendue possible que par une baisse des charges et par une meilleure santé des Français. Se battre pour la santé des Français, c’est aussi se battre pour l’économie et le pouvoir d’achat des Français.
Aujourd’hui, Monsieur le Maire, il y a moins de naissances dans le monde qu’il n’y a de décès. Comment en est-on arrivé là ? On nous dit que l’on ne fait pas un enfant pour de l’argent, certes, mais cela y aide sérieusement.
Nous sommes les assassins qui tuons les Français, en refusant de leur apporter aide et assistance, économique et sanitaire. La situation sanitaire des Français s’est dégradée de plus de 40 à 50% en moins de 40 ans. Ne faudrait-il pas s’en poser la question et peut-être en chercher la cause ? On a d’ailleurs l’impression qu’on ne cherche même pas à éviter les causes.
La médecine a fleureté avec l’argent et tout s’est dégradé. Tout ceci est la cause de l’inflation qui se produit systématiquement. Monsieur le Maire, on ne redressera pas la France avec des macchabées mais bien avec l’énergie de nos jeunes.
La France continue à s’endetter de plus en plus alors que les risques d’inflation sont, pour beaucoup, causés par la dette.
Alors, Monsieur le Ministre, prenons le taureau par les cornes. N’hésitons pas à nous jeter dans l’arène avec toute la notion de risque que cela comporte. Acceptons de ne plus être cupides et faisons tout ce qu’il faut pour redonner vie aux Français. L’un détruit, l’autre permet de construire.