L’OTAN est un rouleau compresseur redoutable qui vient d’être réunie par la folie de Monsieur Poutine. L’OTAN renaît de ses cendres et de la mort cérébrale qu’on lui avait attribuée.
L’OTAN, rouleau compresseur, se met en marche et ne s’arrêtera pas aux frontières de l’Ukraine. Il est hors de question pour elle de revenir, chaque année, au secours d’un pays, qu’il soit européen ou simplement allié.
Un retrait de la Russie de l’Ukraine ne suffira pas à apporter la paix. Isolé, Poutine va devoir subir son chemin de croix. Tout accord signé avec la Russie n’aura aucune valeur. Les menaces de Poutine avec l’arme nucléaire est, à présent, négligeable compte tenu de la mise en place tout autour de la Russie de missiles antimissiles.
Monsieur Poutine a voulu jouer à la guéguerre par vanité et il disparaîtra à tout jamais par une occupation de la Russie par les troupes de l’OTAN.
La Chine n’a pas d’intérêt à aider Poutine ; 50% de sa production est exportée vers les pays occidentaux. Les Chinois sont amis avec la Russie et ne souhaitent que de se débarrasser de cet ami encombrant.
La Chine ne souhaite pas la guerre, tout du moins avec l’Europe. Que les Chinois montrent les dents sur Taïwan peut, peut-être, se comprendre, vu sa proximité, mais la guerre n’est pas souhaitable. La Chine préfèrera s’accorder avec son client et la Russie n’est pas son client mais son fournisseur.
La neutralisation de la Russie nécessitera de rebattre les cartes dans tous les pays asiatiques affiliés à la Russie tels que la Corée du Nord, le Vietnam et même aujourd’hui l’Inde. La Japon ne pourra qu’applaudir, ayant enfin les mains libres et n’ayant plus, à ses frontières, un pays belliqueux.
Il est nécessaire de faire payer au prix fort les destructions et les morts en Ukraine. Ce seront les champs de pétrole qui seront le gage d’une Russie occupée. Oui, la reconstruction de l’Ukraine coûtera près de 10 000 milliards. Et les champs de pétrole permettront de payer cette dette.
La Russie n’aura plus d’armes nucléaires. L’OTAN, ou plutôt les États-Unis, ne se déplacent jamais pour rien : ils ont toujours un intérêt majeur. Et, au-delà des champs de pétrole, ce sont les mines d’or qui ne seront qu’un pourboire. Il faut être clair : l’OTAN ne se déplacera pas pour les quelques provinces d’Ukraine.
A bon entendeur : salut !!!
