La machine de guerre américaine et européenne se met en marche, il sera difficile de l’arrêter à la frontière russo-ukrainienne.
La pensée du Président Biden est désormais dans sa lancée de bombarder les remparts de Moscou, de St Pétersbourg et même de Marioupol. En fait, les Etats-Unis veulent mettre fin au régime de Poutine et faire de la Russie un pays vraiment démocratique.
La machine de guerre américano-européenne est un monstre que la Russie ne pourra arrêter. Le Président Poutine en doute et il fait croire à la toute-puissance de l’armée rouge… avec un matériel de musée totalement inefficace. L’armée rouge ne sera qu’une colonie de fourmis face aux troupeaux d’éléphants.
Le bluff de Poutine est très loin de la réalité : il ne s’agit pas d’écraser la Russie, il s’agit simplement d’en finir avec un régime qui se croit toujours menacé. La Russie ne pourra rien faire face à la liberté, face aux démocraties réelles.
Aujourd’hui, la Russie semble être un rouleau compresseur mais il n’y a rien derrière ce rouleau compresseur. Elle ne cherche qu’à faire un hold-up sur l’Ukraine, non pas pour des problèmes territoriaux mais pour voler ses richesses.
Cette guerre ne peut durer longtemps. La Russie est aujourd’hui affaiblie tandis que l’Ukraine se trouve renforcée par l’OTAN, par l’Europe et par les Etats-Unis.
La Chine n’interviendra pas : elle est trop engagée par son marché avec les nations occidentales. Perdre ce marché serait se mettre en position de faiblesse.
Le pétrole et le gaz russe
Le pétrole et le gaz russe peuvent être remplacés par d’autres fournisseurs, et ils sont nombreux.
Ceci coûtera plus cher mais ils pourront aussi être remplacés grâce au développement de l’énergie nucléaire avec de mini centrales au thorium de 50 à 170 MW. Il n’y aura plus de centrales en panne pendant des mois, elles seront interchangeables et fabriquées en série en usine, tout comme les voitures .
Fini les monstres de centrales nucléaires (EPR), dangereuses et attaquables et à la merci de la moindre défaillance. Fini le système du rafistolage. Notre parc nucléaire sera, dès lors, sous terre dans des espaces de 500 à 1 000 m2 et il sera tout près des zones de consommation.
Le prix du KW sera divisé par dix et constituera un atout supplémentaire pour notre compétitivité.
Ne faisons pas l’erreur de toujours revenir sur l’utilisation du passé. Conservons notre indépendance. Nous ne devons plus être dépendants, ni du pétrole, ni du gaz, tant du point de vue écologique que du point de vue de l’efficacité.
Le plus, le fait que l’énergie électrique ne puisse être stockable met hors course les éoliennes et les panneaux solaires qui ne peuvent produire que d’une manière intermittente.
D’autre part, le principe même de la mini centrale permettra une exportation massive de mini centrales (tout comme on exporte les véhicules), vers d’autres pays telles que les zones désertiques et servira à pomper l’eau nécessaire pour les remettre en cultures et stopper le réchauffement climatique.
L’atout des mini centrales, c’est la possibilité de les mettre en activité par centaines, d’ici 4 à 5 ans, et de permettre ainsi la jonction entre les carburants fossiles et nocifs et une nouvelle énergie nuclaire sans risque avec très peu de déchets. Ceux-ci pourront d’ailleurs être rendus inoffensifs à l’aide de rayons lasers.