Non, la guerre d’Ukraine

Contrairement à ce que certain énoncent comme une guerre de Cent ans, la guerre d’Ukraine ne durera pas et sera terminée avant la fin de cette année.

Parler d’une guerre qui s’installe, c’est méconnaître le courage et la combativité des Ukrainiens qui défendent leur pays, leur liberté. Ils ont pris et ils possèdent les moyens nécessaires pour y mettre fin. C’est ce qu’ils font depuis début mai en lançant l’offensive.

Les Russes font leur métier et savent bien qu’ils n’ont pas leur place en Ukraine. D’autre part, je pense que Monsieur Poutine a de sérieux problèmes de santé.

Les officiers et les sous-officiers ukrainiens sont auprès de leurs soldats ; ce n’est pas le cas de l’armée russe. Le ciel de l’Ukraine est à présent devenu interdit aux Russes ; il ne reste plus que leurs missiles pour tenter de faire peur mais l’Ukrainien n’a pas peur. L’Ukraine sait, à présent, qu’elle ne manquera de rien, ni d‘armement, ni de munitions, ni de nourriture.

Il faut tout de même savoir que près de 40% des réfugiés ukrainiens sont de retour dans leur pays. Ils veulent travailler pour reconstruire leur pays, et l’Occident leur en fournira les moyens.

L’offensive ukrainienne ne fait que commencer, elle repousse les Russes à leurs frontières et elle ne tardera pas à reprendre Marioupol. Le cordon d’occupation sur la mer Noire sera alors coupé ; les Russes ne pourront plus alimenter leurs troupes en munitions et en armement.

Tout ceci va se passer très rapidement. Viendra alors l’heure de créer l’après-guerre car les Russes seront tout de même toujours dangereux à la frontière ukrainienne. Il sera donc nécessaire de créer un no-man ’s-land tout au long de la frontière avec la Russie et la Biélorussie.

L’Ukraine sera devenue alors une chasse-gardée des Européens et de l’OTAN. La Russie devra verser 300 milliards pour réparer les dégâts qu’elle aura créés. Elle sera alors affaiblie et verra peut-être sa politique de demain totalement transformée en vrai pays démocratique. On pourra alors commencer à parler d’adhésion de la Russie à l’Europe.

Astrologie – Notre Terre

Avant de parler de l’influence éventuelle des astres très lointains, je pense qu’il faudrait d’abord s’inquiéter de l’influence de la nature terrestre et de ses dérives, et cela nous touche de près.

Je ne mets pas en cause l’astrologie que nombre de nos dirigeants consultent mais, dans le cas des grandes maladies qui nous épuisent, ce sont les dérives de la nature qui sont en cause, tant pour le cancer que pour le COVID, ou encore le palu.

Pour le cancer, les méfaits des dérives des pressions atmosphériques sont prouvés mathématiquement face à une évidence. Pour le COVID et pour le palu, c’est aussi une contamination qui provient de la nature.

Dans tous les cas, seul un dispositif naturel pourra y mettre fin. Pour le cancer, ce sera la régulation des pressions atmosphériques. Pour le COVID et le palu, seul un dispositif d’éradication peut éviter leurs conséquences.

Réguler les pressions atmosphériques, nous savons le faire, éradiquer les virus et le palu, nous savons aussi le faire. Pour les virus, ce sera un mur de feu sur lequel seront projetés les virus au moyen d’un simple radiateur soufflant, en hiver, et une lampe à ultraviolets, en été. Pour le palu, c’est éradication des moustiques d’une manière totale. Et nous constatons que c’est dans les pays pauvres et chauds que les moustiques se développent sans que ces pays aient les moyens financiers pour les éradiquer.

A ce jour, le COVID se soigne mal par un renforcement du système immunitaire qu’il serait préférable de ne pas détruire. Le palu se soigne à 90% par la plante Artémisia que les laboratoires ont tout fait pour éviter qu’elle ne soit sur le marché. En fait, que ce soit pour le cancer, que ce soit pour le COVID, que ce soit pour le palu, nous constatons que c’est la loi de l’argent qui est la seule cause de nos morts. Les dispositifs naturels qui sont proposés coûtent si peu qu’on ne veut même pas les appliquer !

 

 

 

Est-ce qu’un jour le bon sens triomphera ?

J’ai la conviction qu’il y a trois lignes rouges qu’il ne faut pas franchir au risque de mourir :

1)     Celle extérieure à notre corps, qui s’équilibre à 20° pour notre  bien-être

2)     Celle intérieure à 37°, pour notre survie

3)     Celle de la pression atmosphérique  normale à 1013 millibars qu’il ne faut pas franchir pour ne pas porter atteinte à notre système immunitaire.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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