Les prix pratiqués aujourd’hui sur l’huile de tournesol et la farine sont purement l’œuvre de la spéculation car l’huile et la farine vendues actuellement ont été produites en juin, août et septembre 2021.
Et demain, la production ukrainienne de blé et de tournesol sera au moins à 70% celle de 2021.
Il n’y a pas lieu d’y avoir une telle augmentation sur les prix d’aujourd’hui. Ce n’est que de la spéculation dévastatrice de la part de quelques individus qui tentent de profiter de la guerre en Ukraine pour s’enrichir.
Il en est de même de beaucoup d’autres produits semant ainsi la panique de l’inflation ; il en sera de même, demain et probablement dès aujourd’hui, pour les taux d’intérêts qui ne sont pas justifiés si ce n’est que par la peur du lendemain.
Oui, les usines d’armement tournent à plein régime. Ce n’est pas pour cela que le coup des chars et des munitions doivent progresser anormalement. La guerre, le marché noir, la spéculation, reviennent au galop.
Pays européens, il faut casser la spirale infernale de la spéculation. Il n’y a pas lieu d’augmenter le prix de certaines denrées ou de certains produits.
La guerre en Ukraine se terminera par la mort de Monsieur Poutine car, en Russie, les prix flambent aussi sans cause ni raison.
Non, on n’arrêtera pas la mondialisation
A la mondialisation occidentale viendra s’ajouter la mondialisation africaine et indienne. Non, on n’empêchera pas la terre de tourner sur son axe : il ne faut pas rêver.
Si l’on ne peut pas arrêter la mondialisation, on pourra la réguler comme il est nécessaire de réguler les forces de la nature qui sont le plus grand ennemi de l’homme.
La mondialisation est l’ennemi des conséquences du progrès. Elle oblige un mouvement de concurrence qu’il faut réguler pour qu’elle soit profitable aux peuples.
La nature régulée conduit à un paradis terrestre, tant pour la santé que pour le plaisir des yeux. La nature a ses cycles, sans danger, mais elle a aussi ses dérives, c’est comme un lion qui se fâche : elle peut avaler l’humain. Il faut donc la dompter partiellement localement, là où l’on vit, là où l’on dort.
Vouloir réparer les dégâts en soignant est une insolence à la vie.
On essaie bien d’élever les enfants selon certaines règles pour éviter la jungle, de même, il faut vivre en régulant les dérives de la nature, et nous savons le faire, en éradiquant les virus et en vivant localement à une pression que l’homme peut supporter.
Il en est de même pour la mondialisation. Elle nécessite qu’entre les pays qui participent à cette mondialisation, on retrouve les mêmes normes mais aussi les mêmes systèmes sociaux. Tout pays qui n’observe pas ces règles doit être exclu de la mondialisation car une mondialisation sans régulation conduit à une dépendance.
Oui, il faudra une charte de l’ONU pour réguler cette mondialisation afin de protéger la vie et le bien-être ainsi que la liberté des peuples.