Le virus n’est pas une génération spontanée. Il n’est pas de passage.
C’est un ennemi dangereux et la seule guerre qui puisse être menée, c’est l’éradication à 100%. Et comment donc ?
- Eviter notre mort, c’est bien, l’empêcher de nous atteindre, c’est mieux ;
- Soigner, oui, mais on ne soigne qu’après une blessure et c’est la cause de cette blessure qu’il faut empêcher en éradiquant la cause en amont du corps humain ;
- « vivre avec » est une décision inacceptable : on ne peut jamais vivre en paix accompagné d’un ennemi mortel.
Alors, de grâce, utilisons le génie de l’homme pour détruire d’une manière mécanique, avec un résultat à 100%.
Nous savons le faire en projetant ce virus invisible sur un mur de feu constitué par un radiateur électrique soufflant et aspirant. Le virus sera alors immolé sur le bûcher de ce mur de feu. Il mérite la mort après avoir tué six millions d’humains. Ils sont des centaines de milliards de virus mais il faut qu’ils sachent que l’on n’a pas peur de les détruire.
Un Président doit-il ?
Un Président qui a peur de tout : un Président qui a peur de construire des SMR (mini centrales nucléaires fabriquées en usine).
Un Président qui est toujours sur la défensive.
Un Président qui ne prend aucun risque. Un président qui a peur du risque : ce Président ne peut pas être le patron de la France.
En temps de guerre, on demande aux soldats la bravoure. Leur chef se doit, au moins, d’être aussi brave.
Notre Président est handicapé par l’esprit de l’ENA qui consiste d’abord à se protéger avant de protéger les autres.
La vie n’est pas une ligne droite, la nature est un danger et nous vivons dans une sinusoïde permanente dont il faut limiter les amplitudes.
La pandémie, elle aussi, suit un axe sinusoïdal au cours des saisons et je dirai que l’ampleur de cette sinusoïde est fonction de l’ampleur du soleil.
Ce virus ne doit pas faire peur à l’homme et, comme disait le pape Jean-Paul II : dans les plus grands dangers, n’ayez pas peur.
Il va falloir partir à l’offensive.
Nous avons tout pour y mettre fin, sans dépenser un centime et l’on a choisi la solution la plus coûteuse et la moins efficace ! Comment notre Président a-t-il pu en arriver là ? Sa décision aura coûté 30 000 euros à chaque ménage français.de dettes
Et aujourd’hui encore, il n’en prend pas le chemin en faisant croire que la pandémie est terminée alors que l’on a, chaque jour, plus d’hospitalisations que jamais et plus de morts que jamais. C’est encore un mensonge électoraliste. On n’est plus à cela près…
Mais la France n’est jamais perdue. Les Français aiment prendre du risque et son Président le refuse : dès lors, il n’a plus sa place.