L’utilisation frauduleuse du mot vaccin, comme traitement préventif, est une escroquerie commerciale et financière. Je dirai même une tromperie. Et ce, avec la bénédiction des États.
Cette situation rendra tous les autres vaccins peu crédibles. C’est un danger pour tous les enfants.
Quand on voit les difficultés qui sont relevées par la Direction de la Santé et des fraudes pour tous les aliments que nous consommons, je me demande si une enquête ne devrait pas être ouverte pour l’utilisation du mot vaccin par les laboratoires…
Ceci ne m’empêche pas de dire que la potion injectée résoudra peut-être les problèmes les plus graves. Mais ça n’empêchera en aucun cas le développement de la pandémie.
Nous dire qu’il faudra une nouvelle injection tous les ans démontre, si besoin était, que ce n’est pas un vaccin.
Pour preuve, le prétendu vaccin contre la grippe qui n’empêche pas d’aboutir à 15 ou 20 000 morts chaque année de la grippe. En sera-t-il de même pour le COVID-19 ? Et peut-on s’en contenter ? Décidément, l’incompétence prend le dessus dans le monde de la recherche ou, plus exactement, dans le monde des laboratoires.
Le bon sens voudrait que l’on utilise, en hiver, des moyens mécaniques qui permettraient d’éradiquer les virus avant qu’ils ne soient diffusés dans le monde. Et ce, exactement comme on allume les chauffages quand il fait froid. D’ailleurs, le meilleur moyen est d’utiliser les chauffages d’appoint en automne. Pour éradiquer toute forme de virus avant même qu’ils ne puissent se propager.
Et en été, si un virus survient ou se développe, il faut alors utiliser les lampes à ultraviolets.
Exactement comme on allume un climatiseur. Si l’un permet un bien-être, l’autre permet de sauver des vies et même de ne pas tomber malade.
Il me semble que ceci soit élémentaire. C’est très bien de mettre des détecteurs de Co2 dans les classes d’école, mais ne serait-il pas plus utile d’installer des appareils de chauffage, murs de feu qui brûleraient les virus ?, car détecter c’est bien mais un peu trop tard…
De toute façon, il faut bien les chauffer ces classes en hiver, alors : où est le problème ? Il en est de même dans les bureaux, dans nos appartements et même dans les supermarchés. Ce n’est qu’une question de puissance du mur de feu.
Qu’en pensez-vous ? N’est-ce pas une solution qui évitera de nous priver de nos libertés. Et qui évitera aussi de mettre notre économie en difficulté, sans oublier qu’elle évitera aussi d’accroître la dette de quelques centaines de milliards ?
Si ce que je vous dis n’est pas vrai, qu’on me le démontre. Je n’aurai aucun regret car j’aurai au moins fait ce qu’il fallait.
Pas d’investissement industriel sans…
Il n’y aura pas d’investissement important en France tant que le problème des coûts ne sera pas résolu.
Les industriels veulent bien produire mais ils veulent d’abord s’assurer la vente. Les industriels n’aiment les conflits sociaux, ils préfèrent les devancer quand cela est possible et justement accroître le pouvoir d’achat de 20% en réduisant tous les prix et services d’autant par la suppression des charges sur les salaires, qu’elles soient patronales ou salariales.
La France ne retrouvera sa grandeur que quand elle pourra produire d’une manière compétitive et quand le salarié pourra vraiment vivre de son salaire.
Aujourd’hui, pour un salarié qui travaille une heure, la moitié du salaire de cette heure passe en cotisations sociales et fiscales. C’est le système qui est faux. S’il a été créé en 1946 par le Général de Gaulle, il doit être modifié aujourd’hui en raison de la mondialisation inévitable.
Alors, on va nous dire qu’en France, aujourd’hui, il n’y a plus suffisamment de main-d’œuvre autochtone en raison du manque de naissances.
Et que l’on s’impose une immigration désirée qui n’est pas toujours du goût des industriels car cette immigration-là, il faut la former et cela coûte cher.
Il n’y a pas d’industriel assez fou pour venir travailler en France et y investir tant que ces problèmes ne seront pas résolus. Tant que nos dirigeants n’auront pas compris ces règles du jeu, la France prendra le chemin du déclin et deviendra totalement tributaire et dépendante d’autres pays tels que la Chine ou même des pays de l’Est de l’Europe.
Je sais qu’en Chine ils ont pris le problème de la démographie en main et toutes les mesures nécessaires ont été prises également. Chez nous, rien n’est fait pour que l’on souhaite un enfant de plus dans sa famille.
Réveillez-vous, dirigeants français : aujourd’hui il faudra prendre des mesures fortes pour inciter à avoir davantage d’enfants.
C’est pourquoi j’ai proposé un salaire parental qu’il faut organiser pour qu’il ne pose aucun problème de situation de carrière tant à la femme qu’à l’homme.