Mais jusqu’où ira-t-on dans la bêtise ? Ouvrir la cage aux oiseaux, c’est la chanson… mais ouvrir la fenêtre pour que les virus s’en aillent est une aberration sans nom.
Oui, ouvrir la fenêtre pour que les rayons du soleil puissent entrer est une bonne chose mais, en hiver, où est le soleil ?
Si on peut laisser les oiseaux s’envoler, le virus, il faut le tuer, ce n’est pas tout à fait la même chose. Les oiseaux, c’est vous qui êtes allé les chercher, le virus, c’est lui qui a frappé à votre porte.
Ouvrir les fenêtres par temps de soleil, c’est tuer le virus. Ouvrir la cage aux oiseaux par temps de soleil, c’est leur donner la liberté. Mais aujourd’hui, la situation est ce qu’elle est : on est en hiver et on reste au chaud tant qu’on le peut. C’est donc là et nulle part ailleurs qu’il faut tuer le virus, chez soi, au bureau et partout où l’on doit séjourner. Il faudra utiliser les petites lampes à ultraviolets, à un prix ridicule, à une consommation ridicule, de la même manière que vous aurez votre radiateur qui chauffera, la lampe tuera les virus. Il va falloir en prendre l’habitude.
Un radiateur, cela dure 10 ans, une lampe à ultraviolets, ça dure aussi 10 ans. C’est notre manière à nous d’utiliser un soleil artificiel pendant l’hiver et pendant l’été, si nécessaire.
Est-ce si compliqué que cela ? Préfère-t-on aller faire la queue pendant des heures pour se faire vacciner ; est-ce nécessaire de faire la queue durant des heures dans le froid ? Et tout cela pour se faire injecter un produit miracle qui n’est pas un vaccin et qui n’immunise absolument pas au-delà de trois mois.
En conclusion, ma solution est d’éviter d’être infecté et donc d’éviter tout risque de contagion et d’handicap. La solution que propose l’Etat est de soigner et d’handicaper la population dans un cadre de peur permanente, sans arriver à un résultat définitif.
C’est pourquoi je demande au Président de la République de vacciner, si cela l’amuse mais, de grâce, faisons le nécessaire pour en finir avec la pandémie et la seule solution est de tuer le virus.
La honte, non : l’escroquerie
Les laboratoires pharmaceutiques préparent déjà le quatrième rappel de vaccination et je suis convaincu qu’ils ont déjà dans leur tête l’idée de préparer la cinquième, la sixième, septième, etc. ils savent très bien qu’ils ne parviendront pas à museler le virus.
En revanche, les laboratoires savent aussi très bien que c’est toute la population qui finira par être malade du virus ; ce n’est qu’une question de temps ou de miracle. Et pendant ce temps, ils s’enrichissent sur le dos des Français : c’est une tirelire qui fonctionne bien.
Mais, au-delà du coût de la vaccination, c’est toute une population qui s’effondre par la peur, par la nécessité de se protéger en permanence, sans résultats définitifs. Et Monsieur le Président de la République appuie en plus sur le champignon en disant qu’il va falloir apprendre à vivre avec.
Candidats à l’élection présidentielle, il vous faudra, coûte que coûte, nous dire ce que vous comptez faire et il nous serait agréable que ce soit avant Noël car ne comptez pas trop sur le Père Noël.