La première décision serait de rétablir la santé des Français en éradiquant les virus et en régulant la cause des cancers.
A cette décision, j’ajouterai une décision bis qui est d’accroître le pouvoir d’achat des Français de 20% par une simple ordonnance de transfert de toutes les charges salariales et patronales sur le budget de l’Etat. Et cela représente 500 milliards l’année qui peut être largement compensé par le dispositif que j’ai déjà proposé.
Je pars du principe qu’il ne peut y avoir une bonne économie sans une bonne santé. Dire qu’on va vivre avec le virus comme on vit avec le cancer est inconcevable pour un être humain.
Je ne suis pas contre la vaccination avec de vrais vaccins qui apportent des résultats mais accélérer la possibilité de cas de contamination est une aberration.
D’autre part, je crains que la potion qui nous est injectée devienne, par la mort répétitive des anticorps, un accélérateur des cancers.
Si je prends le petit dictionnaire, un vaccin est lié à l’immunité et une immunité ne peut pas être de quelques jours ou de quelques mois alors que, jusqu’ici, les vrais vaccins ont immunisé pour des dizaines d’années.
Ces deux premières mesures rétabliront la confiance des Français. Les Français auront une meilleure santé, ils auront du travail et ils auront un pouvoir d’achat accru.
Dans le dispositif prévu, les patrons pourront aussi investir en conservant 20% des avantages induits par la suppression des charges et consacrer les 80% restants à une baisse massive sur tous les produits et les services.
Résultat : les exportations seront multipliées par trois ou quatre et les investisseurs frapperont à nos portes.
Il ne s’agit pas de dire qu’il s’agit d’une économie libérale, c’est simplement l’économie du bon sens face à une mondialisation.
Pour obtenir ce résultat, il faudra que le Président prenne une mesure sans pareil en ce qui concerne l’école et la formation continue. L’école ne pourra vraiment fonctionner que si l’on donne l’envie d’apprendre ; il s’agira donc d’une certaine réforme de l’Education Nationale à laquelle viendra s’ajouter ce que j’ai appelé le salaire parental qui permettra de faire de nos enfants de vrais citoyens vivant dans une vraie collectivité démocratique.
Va-t-on arrêter de faire de la publicité sur les vaccins !
Va-t-on arrêter de diffuser sur tous les écrans, une publicité pour un vaccin qui n’en est pas un ou, tout du moins, qui ne donne pas le résultat attendu pour un vaccin.
En fait, nous sommes en pleine mondialisation : on vend des produits qui n’ont aucune durabilité, qui n’ont aucune garantie, à des prix bradés. Aujourd’hui, le vaccin offert n’est qu’un produit à l’obsolescence programmée.
Je peux comprendre que ce que je demande remette en cause le fonds de commerce médical …, mais ce que je propose ne correspond à rien d’autre que le serment d’Hippocrate. Ce n’est pas par un chantage que l’on résoudra les problèmes, c’est en agissant d’une manière rationnelle pour détruire les causes du mal.
Aujourd’hui, une faute scientifique a été commise : on refuse de détruire les causes en prétendant soigner par un prétendu vaccin, cela fait beaucoup de prétendu.
La France, pays des lumières, a oublié aujourd’hui la vie.
Il nous faut revenir à des réalités. Comment peut-on accepter que des microvirus viennent empoisonner notre vie ? Et c’est d’autant plus décevant que l’on sait comment faire pour les éviter.
Faire une publicité sur un produit défectueux alors que pendant ce temps on impose aux Français des normes de qualité… : décidément, la mondialisation s’étend aussi aux vaccins.
A nous d’agir par une offensive toute simple et toute naturelle qui ne coûtera pratiquement rien.