Notre liberté, notre indépendance, sont de plus en plus menacées.
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Une mondialisation qui conduit à être dépendant pour notre matière première, pour notre énergie, pour nos pièces détachées, pour notre santé. Ce n’est pas concevable ni au plan sanitaire, ni au plan militaire, ni au plan industriel, ni au plan monétaire.
Il faut donc y remédier :
1. Pour notre énergie, les EPR mettent notre stratégie militaire et écologique en difficulté.
Il faut donc s’orienter en remplaçant les EPR par des milliers de SMR de 170 MW. Ils seront construits à la chaîne en usine comme pour les voitures et les installer dans toutes les zones de consommation importante. Toute usine à forte consommation d’énergie, telles que les usines de transformation de bauxite en aluminium, telles que les usines automobiles, telles que les fonderies, devront avoir chacune leur propre SMR. Ce sera d’ailleurs pour elles un coût d’énergie divisé par dix par rapport au prix du KW actuel. Et ce, sans être sous la tutelle de l’EDF. Chaque ville, chaque région de production, devra avoir son SMR. Et il en faudra plus de 1 000 en France qui pourront être construits et installés en moins de deux ans ; pour les EPR, il faut dix ans…
2. Au plan sanitaire, les vaccins deviendront, comme les antibiotiques qu’il faut utiliser avec parcimonie.
Car les antibiotiques, comme les vaccins, s’accoutument très vite et deviennent inefficaces. La solution du sanitaire passe par l’éradication des virus et par la régulation d’éléments naturels en ce qui concerne les cancers.
3. La réindustrialisation passe par le coût du social, qui n’a rien à faire sur le travail ; c’est l’affaire de l’État.
il y a urgence à transférer toutes les charges sociales. Y compris les retraites, sur le budget de l’État car c’est le travail qui finance l’État par la vente des produits. L’énergie nucléaire par SMR mettra notre pays en position de force et de compétitivité et donnera un coût de fouet à nos exportations.
4. Quant à l’écologie et la pollution : ce seront les SMR, pour fabriquer l’hydrogène, qui marqueront la fin de la pollution.
Ce seront encore les SMR qui constitueront la solution pour créer, dans chaque oasis du désert, les moyens de les faire reculer, seuls responsables du réchauffement climatique.
La France a tout pour devenir une puissance économique. Elle a tout pour faire reculer les virus et les maladies du cancer. Oui, elle a tout pour faire bien vivre, en pleine forme, avec un pouvoir d’achat accru.
La France doit redevenir indépendante et libre : il ne s’agit que d’une décision politique.
La magie du Président
C’est peut-être ce que notre Président sait faire de mieux : donner de l’argent qu’il n’a pas aux Français.
C’est uniquement un tour de passe-passe au travers de la dette qui n’est rien d’autre que la dette des Français. Et tout ceci, pour avoir refusé d’éradiquer le virus, jusqu’au jour où ce tour de passe-passe ne sera plus accepté par la banque européenne. On va donc se tirer une balle dans le pied à cause du pourcentage des taux d’intérêts que les banques anticipent en proposant des livrets d’épargne à 6% d’intérêts.
Et que fera-t-on si le robinet se ferme et si les taux d’intérêts s’envolent à 3 ou 5% ?
Ne soyons pas pessimistes mais, tout de même, un crédit à 3%, c’est 90 milliards de dette supplémentaire chaque année et 100 milliards à la fin de 2022.
Il ne faut pas trop croire au Père Noël, ce n’est qu’un rêve d’enfant. Il faut, de toute urgence, éradiquer le virus et rembourser la dette qui est une perte de notre liberté et de notre indépendance.
Quel tour de passe-passe pourra inventer notre Président, aculé au pied du mur ? Et, entretemps, il y aura eu combien de morts et combien de blessés ? Ce n’est pas ainsi qu’on peut relever une économie. La France a besoin de toutes ses énergies. Tuer les vieux ne résoudra rien et n’oubliez pas que vous deviendrez tous vieux, y compris vous, Monsieur le Président. Et quel sera votre état de santé à ce moment-là ?
Le seul mot qui doit nous venir aux lèvres doit être le mot « éviter ». Ce doit être notre leitmotiv. Je ne désespère pas que le bon sens et l’évidence reviennent dans notre France politique.
