Aujourd’hui, il n’est pas bon, en France, de bousculer l’intelligentsia, qu’elle soit universitaire, qu’elle soit sociale, qu’elle soit politique.
Aujourd’hui, il n’est pas bon de douter des Conseils scientifiques.
Aujourd’hui, dire la vérité, c’est être magicien.
Aujourd’hui, découvrir les outils nécessaires pour en finir avec les virus et les cancers, conduit à l’asile.
Bref, aujourd’hui, les concepts fondamentaux de la vie volent en éclat uniquement au profit de l’argent. Aujourd’hui, la spéculation critiquée par tous est utilisée et protégée par tous.
Aujourd’hui, le Ministère de l’Éducation Nationale vit dans le passé mais c’est une institution à laquelle on ne touche pas.
Aujourd’hui, la drogue circule et se vend sur tous les paliers au regard de tous et avec la peur de tous.
Aujourd’hui, le virus circule et rien n’est fait pour l’arrêter et le tuer, on vit « avec ».
Ainsi va notre société française et on s’étonne qu’il y ait de la colère dans certains secteurs ?
Ainsi va notre économie, et une dette de l’État équivalente à 100 000 euros par ménage est rentrée dans les mœurs.
Il est vrai qu’aujourd’hui, qu’est-ce que représentent 100 000 euros quand on parle d’une dette nationale de plus 3 000 milliards d’euros ! En fait, ce n’est qu’un grain de sable pour chaque citoyen… !!! mais un grain de sable qui finira par enrayer la machine.
Il est temps de se réveiller ! Mais, aujourd’hui, travailler pour faire la France est un crime. Et pourtant ce sont ceux-là, les travailleurs, qui font vivre les politiques…
Aujourd’hui, qu’apprend-on à l’école ? Est-ce suffisant pour envisager l’avenir ? L’excellence a disparu. Être le meilleur est une faute et parfois la risée de tous.
Aujourd’hui, notre civilisation est en danger mais on appuie sur l’accélérateur pour accroître les causes provenant de l’émigration.
Aujourd’hui, on se refuse à considérer l’invisible comme une civilisation, de même qu’on se refuse à croire que les religions constituent des civilisations différentes.
Il y a tant d’espaces entre les religions mais aussi entre le visible et l’invisible. Combler ces espaces relèvent de l’imaginable mais on ne mettra tout le monde d’accord qu’au cimetière. Le mensonge est constitué en institution et l’on mourra par des mensonges.
Dire la vérité, aujourd’hui, c’est se constituer prisonnier de ceux qui en profitent et qui refusent toute vérité et toute possibilité.