Au lieu d’utiliser un « pass » que l’on va s’ingénier à outrepasser, ne serait-il pas plus judicieux d’imposer dans tous les lieux, publics et privés, où séjourne ou passe du public, une norme toute bête, toute naturelle, de purification de l’espace en question.
Cela ne coûterait pas un sou à l’État. Il s’agirait de tous les lieux de travail, de distraction, cinémas, théâtres, etc., administratifs ou simplement salles d’attente à qui il faudrait imposer des purificateurs d’air à base d’ultraviolets.
Plus qu’une désinfection généralisée, ce sera une désinfection permanente. On aura choisi l’invisible.
L’ÉTAT SE TROMPE DE CIBLE
Ce n’est pas à la victime de tuer son agresseur.
Si l’on est capable de neutraliser les conséquences d’un virus quand il atteint l’homme, on peut peut-être aussi le neutraliser avant qu’il n’atteigne l’homme.
C’est donc à tous ceux ou à toutes celles qui reçoivent ces éventuelles victimes, dans des locaux classés clos, soit par intérêt, soit par courtoisie, soit pour des raisons administratives, de faire le nécessaire en tuant le virus avant qu’il n’atteigne ces clients ou ces amis.
Cela, nous savons le faire, soit par des épurateurs d’air, soit tout simplement par un dispositif à ultraviolets. C’est à ceux qui accueillent du public que l’État doit imposer une norme de sécurité.
S’en prendre à la victime est un peu trop facile. Mettre une amende, c’est le résultat d’un échec. Mais qu’est-ce qui empêche l’État d’imposer, soit aux supermarchés, soit aux propriétaires de salles de spectacles, quelles qu’elles soient, soit à lui-même dans les espaces publics, transports, etc., le dispositif qui permettrait d’éviter que le virus n’atteigne l’homme ?
Il s’agit d’une norme de survie. Il n’y a pas besoin de tant de réunions de l‘Assemblée Nationale pour imposer les normes essentielles. Le Pass sanitaire ne sera plus nécessaire : on aura tué le virus avant qu’il n’atteigne l’homme.
Toutes les décisions de pacotilles qui sont prises n’aboutiront à rien, en tous cas pas à l’essentiel, c’est-à-dire à éviter que l’humain ne soit la victime.
Que de décisions absurdes sont prises qui font sourire le virus…
Certains patrons de supermarchés l’ont déjà compris mais, dans un esprit d’équité, il est nécessaire que soient imposés à tous ceux qui reçoivent du public ,les dispositifs à ultraviolets qu’ils ont installés aux caisses. Et ainsi, il n’y aura pas de quatrième vague au mois de septembre, ni de cinquième dans le futur, et l’on n’aura pas mis l’intégrité du corps humain en cause.
La liberté sera sauvegardée. La machine économique pourra se remettre en route parce qu’on aura fait ce qu’il faut pour tuer l’agresseur.
Mais quand aura-t-on un peu de bon sens ? Quand arrêtera-t-on les éventuels cas de contamination qui nous sont annoncés chaque jour ? En est-on réduit à ce point, d’incapacité, de volonté ? L’argent en est-il la cause ?
Arrêtons d’accuser le peuple.
Mettons au pilori tous ceux qui prennent ces décisions absurdes. C’est d’’autant plus absurde que, de toute manière, la protection des vaccins ne sera pas supérieure à 90%, selon eux.
Et alors ? Les 10% qui restent, c’est 7 millions de Français qui sont jetés à la poubelle ? Non, ce n’est pas sérieux, ce n’est pas sérieux. C’est même une question de morale. On se doit de protéger tous les Français et non pas un pourcentage. Et pour ce faire, seule l’éradication du virus le permettra.