Le Président de Moderna n’est pas non plus un médecin. Ce que j’ai découvert, ce ne sont pas des solutions défensives, tant pour les virus que pour les cancers. Ce que j’ai découvert dépasse toutes les théories médicales en ce qui concerne cancers et virus et ce, par la simplicité.
J’évite que le mal n’atteigne l’homme. Pour le cancer, comme pour le virus, ma solution est de tuer les causes de l’un et de l’autre avant qu’elles n’atteignent l’homme.
Comme pour les volcans, il y a toujours un certain nombre d’indices qui préviennent l’éruption. Dans le cas des cancers et des virus, il y a toujours des prémices qui indiquent le cataclysme.
Ce n’est pas du préventif que je propose, c’est la destruction de la bombe avant qu’elle n’atteigne le sol. J’évite ainsi tous les dégâts possibles en éradiquant le virus dès qu’il apparaît et en régulant les causes du cancer quand apparaissent les dérives des pressions atmosphériques. Le baromètre peut être notre indicateur ; il est le révélateur d’une possible destruction du corps.
Personne dans le monde médical ne m’a dit le contraire. Les professeurs que j’ai consultés m’ont tous dit la même chose : « on n’y a pas pensé ». Mais, le système médical, le monde médical, est devenu une forteresse qui se protège au lieu d’éviter tout ce qui peut nuire à l’homme. Le monde médical a trahi le serment d’Hippocrate.
Il ne suffit pas d’être médecin pour sauver des vies ; un simple citoyen peut avoir autant d’idées et de solutions que les médecins. Évidemment, tout ceci se passe dans le monde de l’invisible et nos médecins sont aveugles…
Ce n’est pas la peine de nous rabâcher, tous les jours, de nouvelles découvertes qui n’ont pour seul but de se faire de l’argent. Ce que je propose ne coûtera rien. Ce que je propose, c’est de prolonger la vie, en pleine forme, sans le moindre médicament. Et c’est en cela que réside la difficulté.
Il n’y aurait jamais dû y avoir 110 000 morts du virus pas plus qu’aujourd’hui on accepte encore 200 000 morts, chaque année, par le cancer.
On aurait pu se dire : « on n’a pas trouvé », mais ce n’est plus le cas aujourd’hui. Aujourd’hui, tous les morts causées par le cancer ou par le virus ont pour cause l’orgueil du monde médical.
Aujourd’hui, tout ce qui est fait n’est que du bricolage sans intérêt, sans résultat définitif : c’est toujours du précaire et la vraie cause de tout cela, c’est l’argent car, en fait, l’argent tente de se substituer à la vie.
PERSONNE N’A CRÉÉ LA VIE
À part Dieu, personne n’a réussi à créer la vie à partir de rien. Tous ceux qui disent redonner la vie, sont obligés de se servir de cellules vivantes. C’est trop d’honneur qui leur est fait. Je dirai même que ce n’est que de l’orgueil.
Le virus est un être vivant et personne n’est en mesure d’ailleurs de le créer, même pas un laboratoire. En revanche, nos bricoleurs, nos magiciens, ont essayé de rendre plus ou moins dangereuses certaines maladies : la vie n’est pas leur affaire.
En tous cas, la vie n’est pas spontanée, elle vient toujours de quelque part. La vie est invisible à nos yeux. Personne ne sait quel est le phénomène de la vie. Personne ne saura rendre à la vie ce qui est mort. S’il redonne la vie c’est qu’il n’y avait pas mort.
On se croit tout puissant mais nous ne sommes que des destructeurs. Mais les virus, les pressions atmosphériques sont encore mille fois plus puissants que toutes les bombes atomiques.
Les virus, les pressions atmosphériques sont des êtres vivants ou des phénomènes existants ; il nous faut donc apporter les solutions en les tuant comme on sait le faire avec des bombes atomiques, à la différence près qu’éradiquer les virus et réguler les pressions atmosphériques ne tueront pas l’homme. Toutefois, ce sont des adversaires puissants, des phénomènes naturels que l’on ne pourra détruire que par des armes naturelles.
Oui, personne n’a fabriqué la vie. Personne ne peut donner la vie sans un complément vivant. En revanche, on sait la détruire… et moi, tout petit citoyen, je passe mon temps à apporter les solutions pour protéger la vie, pour la prolonger le plus longtemps possible, en pleine forme, en essayant de passer outre la vieillesse et la mort prématurée.
Alors, une fois de plus : ce n’est que folie, n’est-ce pas ?
Ce n’est que désespérance pour le monde médical et, plus grave encore, c’est une atteinte du monde de l’argent pour qui la vie n’est rien.