L’alternative, c’est détruire le virus là où il est, là où il naît, là où il vit, là où il se développe et se multiplie.
Vous allez me dire que c’est une vérité de La Palisse. Vous allez me dire que c’est évident.
Alors, commençons par le début. Il est fort probable que ce virus soit né dans des espaces glaciaires mais aussi dans les glaciers qui descendent de nos montagnes. Une chose est certaine, c’est qu’il vit là où il fait froid. Une chose est certaine, il se développe et se multiplie là où il fait froid. Le froid est son lieu de prédilection. Il a probablement vécu des siècles dans la glace mais où se trouve-t-il donc, à présent, à votre avis ? Là où il fait froid ? Mais où donc ? : dans votre réfrigérateur, dans toutes les chambres frigorifiques, dans tous les entrepôts frigorifiques, dans tous les camions frigorifiques. Et où cela, donc ? Eh bien, tout simplement chez vous, dans les supermarchés et les hypermarchés, avec les comptoirs frigorifiques et les immenses chambres frigorifiques destinées à conserver vos légumes, vos fruits, votre poisson, votre viande, votre charcuterie et même vos fleurs.
Cela ne veut pas dire qu’il ne faille plus les fréquenter. Il faut leur imposer de détruire les nids de virus.
Simplement par des lampes à ultraviolets et en chauffant au maximum les magasins, aussi paradoxal que cela puisse être.
Tout ceci n’est que purement naturel car les ultraviolets ne sont rien d’autre que la décomposition de la lumière et la chaleur. Ce n’est rien d’autre que celle qui est produite par le soleil ou par des moyens artificiels. Cet été, vous irez tous sur les plages vous exposer au soleil et ce sera très bien ainsi.
Le contact humain est une chose mais la diffusion du virus se fait beaucoup plus encore par les produits que vous touchez. Et vous aurez beau vous laver les mains cinquante fois, les virus continueront à exister. Si vous n’utilisez pas les deux seuls moyens qui existent pour les détruire : chaleur à 30° et plus et ultraviolets.
Il faut détruire chaque maillon de la chaîne comme on détruit les maillons d’un génome. Quand on casse un maillon, c’est toute la chaîne qui se détruit et en tous cas, elle n’est plus la même.
Partout où passe le virus, il laisse derrière lui une traînée de poison ou de substances infectieuses. Un virus ne vit pas longtemps mais il se multiplie à la vitesse de la lumière. L’idéal, c’est de le tuer là où il se trouve avant qu’il ne puisse atteindre l’homme. Et si par hasard il l’atteint, il ne vivra pas non plus longtemps dans le corps de l’homme mais il aura laissé son poison dans le corps détruisant ainsi son immunité.
Les morts du virus représentent 1 pour 1000 de la population en France, et les morts par cancer 5 pour 1000, chaque année.
Il faudra bien aussi casser la construction du cancer et nous savons le faire.
En fait, que ce soit le virus ou le cancer, ce sont des combattants naturels extérieurs à notre corps. Il faut donc les détruire avant qu’ils ne puissent nous attaquer.
Certes, les solutions que je vous propose sont plus que naturelles, plus qu’évidentes, mais elles ne sont pas médicales. C’est ce qu’on appelle normalement la prévention si on veut éviter l’accident.
Dans tout cela, il y a un maître-mot : c’est l’évidence. Et de toute manière, si l’on veut vraiment se débarrasser des virus, ce ne sera pas par les vaccins, ce sera par l’évidence. D’ailleurs, quand la solution que je propose sera adoptée, et elle le sera, on dira que c’était évident.
Ce ne sera ni l’OMS, ni les Conseils Scientifiques, ni le Conseil de l’Ordre qui règleront le problème. La vie des gens n’est pas leur problème, ce n’est pas leur tasse de thé. Seul, l’argent compte pour eux.
On ne pourra remettre en route la France tant qu’on n’aura pas mis en route les trois réacteurs, sanitaire, social et économique, que je propose.
Il faut casser la chaîne qui existe actuellement et qui entrave l’exécutif. Ce sont les corps intermédiaires et l’argent qu’il faut congeler. Nous, nous nous contenterons de tuer les virus.