Un milliard par jour, c’est le coût de la pandémie du virus COVID-19 et ce, chaque jour.
Ceci signifie, dans le meilleur des cas, qu’on aura perdu 180 milliards de plus à fin juin de cette année 2021.
Je reconnais que ce n’est pas facile pour Monsieur le Président de la République : il est aujourd’hui dans un piège, voire l’otage du monde médical. Mais, y aurait-il un acharnement négatif au niveau des solutions sanitaires possibles ?
D’ici trente jours, il y aura près de 15 000 morts supplémentaires. Un général digne de ce nom, ne peut pas l’accepter en temps de guerre. On ne peut pas dire qu’on a tout essayé car on a oublié l’essentiel, les moyens naturels.
Perdre un milliard par jour, « quoi qu’il en coûte », n’est pas la solution. Quelle que soit l’efficacité du vaccin qui nous est proposé et quel que soit le temps nécessaire pour vacciner l’ensemble de la population, il y aura 50 000 morts de plus, au minimum.
Aucune solution médicale actuelle ne parviendra à tuer le virus. Seule, la solution de la chaleur entraînera sa mort.
La courbe que j’ai proposée, à de multiples reprises, en est la preuve évidente. Dans un tableau que j’ai déjà également publié, j’ai démontré que le virus se développait à la vitesse maximum, entre 0 et 10°, et qu’il devenait totalement inactif au-delà de 30°.
Mais comment peut-on ne pas accepter l’évidence ? Il en est de même que si l’on ne désinfecte pas les incubateurs de ce virus, on ne videra jamais l’abcès de la pandémie ; et cela aussi nous savons le faire, à l’aide de lampes à ultraviolets dans tous les espaces réfrigérés, fixes ou roulants.
Quand on dit que l’on perd un milliard par jour, on oublie d’additionner la perte de tous les actifs commerciaux et productifs qui vont devoir s’arrêter, et là, ce n’est plus en milliards qu’il faut compter, mais en dizaines de milliards. Les patrons d’entreprises en difficulté n’osent même plus aller déposer leur bilan ; ils mettent la clé sous la porte, en pertes et profits.
Les scientifiques en sont la cause et le vaccin ne sera que le réparateur d’une partie des dégâts.
On attend tout du médical parce qu’il a su s’imposer moralement mais laisser mourir 300 personnes par jour : est-ce moral ?
L’histoire nous a appris que les grandes découvertes médicales n’ont pas été trouvées par des médecins mais par des gens comme vous et moi qui avons simplement fait des constats ; et avec les constats, on aboutit à l’évidence.
Aujourd’hui, dans le monde animal, on vient de tuer 200 000 canards en raison de la grippe aviaire, exactement ce qui est arrivé aux vaches atteintes de la maladie de la vache folle. On a tué les bêtes mais ont a pas tué les virus. Autrement dit, la médecine n’a pas fait plus pour l’homme que pour l’animal. Reste à savoir d’ailleurs s’il n’y a pas une incidence entre l’un et l’autre…
Il y a eu toute une série de grippes, y compris la grippe porcine où l’on a abattu des millions de porcs.
Non, la médecine n’est pas à la hauteur. Et comme le disait le professeur Raoult, ses représentants ne sont pas au niveau nécessaire pour comprendre et pour décider.
Il en est de même et on l’a oublié : 800 Français meurent chaque jour d’un cancer et ce n’est pas l’argent qu’on réclame de tous bords qui résoudra le problème car on continue à vouloir soigner et non à éviter. Or, aujourd’hui, on connaît la cause des cancers : nul ne peut le contester. On a la solution mais… elle ne rapportera pas beaucoup d’argent aux laboratoires.
Alors, où en sommes-nous rendus ? On a vraiment l’impression qu’on a remplacé l’homme par l’argent. Mais, dans quelle civilisation sommes-nous ? Qu’arrive-t-il au monde entier ? Oui, l’argent est nécessaire pour investir mais non pour spéculer. Décidément, on prend les problèmes à l’envers et la vie ne semble pas du tout être au centre des décisions.
Et quand j’entends dire « la vie, coûte que coûte », je vous dis non, Monsieur le Président. Éviter le cancer ne coûte rien et le soigner ne fait que rapporter de l’argent aux spéculateurs.