La production française repart mais les ventes s’écroulent. Les ventes d‘avions, de voitures de bateaux, de produits agricoles, sont toutes en panne sèche.
Produire pour ne pas vendre s’appelle stocker, ce qui est fort coûteux.
La consommation intérieure stagne, les exportations sont quasiment stoppées.
Sans une décision pour mettre fin à la COVID-19 dans les jours qui viennent par la solution que j’ai proposée, notre économie va souffrir.
A qui cela profite-il ?
Tout d‘abord à tous les laboratoires et au monde médical, en général, qui font des profits exceptionnels dans des conditions exceptionnelles.
Le reste de la production industrielle survit au ralenti.
Et ce qu’il y a de plus grave, c’est qu’en fait les laboratoires font des profits sans résultats.
Évidemment, on nous annonce des vaccins dont personne ne sait exactement ce dont il s’agit et dont personne ne connaît les effets secondaires. C’est d’ailleurs impossible : le temps est trop court et les vaccins sont encore hypothétiques ; en réalité, ils ne protégeront qu’à 50% et ce, dans un an…
Nous voilà revenus en 1945
Avec une dette colossale et avec un outil de production qui a disparu. Nous voilà pieds et poings liés à ce que l’on appelait les pays émergents, devenus conquérants. Plus personne ne veut réellement investir en France ; c’est le bon sens d’ailleurs, car le coût du travail ne permet pas de vendre.
Au risque de déplaire, produire est l’affaire des entreprises, le social, c’est l’affaire de l’Etat. C’est à lui de prendre toutes les décisions que j’ai demandées pour économiser et pour payer le social.
Plus on avance, plus on se retrouve face à l’hégémonie des conquérants. Là-encore, nous avons la solution et elle ne date pas d’aujourd’hui mais, pour des raisons purement politiques, on a préféré mettre le peuple à genoux. Et même aujourd’hui, il ne peut plus prier dans les églises !
“La production (française) repart mais les ventes s’écroulent”, ne pensez vous pas que le monde d’hier n’est simplement plus en adéquation avec le monde de demain?
Sûrement, y compris sur le plan sanitaire.