Et comment financer ces 480 milliards par an pour financer toute la protection sociale en France sans augmenter les impôts ? Voici la solution.
- la fin du chômage qui concerne aujourd’hui près de 5 millions de travailleurs : 100 milliards.
- l’accroissement des recettes par la consommation intérieure accrue – grâce à la fin du chômage – et par la participation aux bénéfices des entreprises : 150 milliards.
- la réduction du coût des soins et des jours d’absence dues aux grandes maladies : 80 milliards.
- la suppression des cotisations sociales sur près de 7 millions de fonctionnaires et assimilés : 100 milliards.
- la balance commerciale redevenue positive : 20 milliards.
- la réduction de la fraude fiscale par les achats qui échappent à la TVA : 20 milliards.
- la réduction de la fraude fiscale des grandes entreprises ayant leur siège social dans les paradis fiscaux : 50 milliards.
Soit au total : 520 milliards
Comment faire maintenant !
Tout ceci ne fonctionnera qu’à une seule condition, que l’on transfère la totalité des cotisations sociales sur le budget de l’Etat et en une seule fois (pas de demi-mesure) ; les demi-mesures feront échouer le plan.
En conclusion, nous aurons une France au travail, plus juste, plus compétitive, sans maladie et qui pourra jouer son rôle dans un monde et une Europe compétitifs. Le maître-mot de tout cela est « éviter ».
La France redeviendra alors une nation que l’on respectera et que les puissances étrangères ne pourront économiquement envahir. Et tous les Français pourront y vivre heureux. 80% des pauvres auront disparu. Chiche…
Bonjour! Point 4: la suppression des charges sur près [de 7 milliards de fonctionnaires et assimilés]: 100 milliards… la tournure de phrase pose problème!!
C’est bien en millions qu’il fallait compter…