En économie comme pour le virus, les chiffres : on leur faire dire ce que l’on veut.
On annonce des foyers à travers toute la France par des points rouges qui créent la peur mais ces foyers, est-ce une personne ou plusieurs personnes ? On ne le précise jamais.
On nous dit que dans les EHPAD il y a tant ou tant de morts, mais est-ce par la COVID-19 ou autre ? Dans les EHPAD, il y a tant de personnes qui ont une lésion pathologique. Elles vivent sur un fil et il est vrai que si l’on détend ce fil, on peut entraîner la mort.
Comme quoi les chiffres donnés sont plus que douteux. A peine 10 % des chiffres donnés sont réels. On estime que pour 100 décès dans les EHPAD, il n’y en n’a que 10 qui aient pour cause réelle la COVID-19.
La seule conséquence de la COVID-19 c’est de réduire notre système immunitaire et, de ce fait, de laisser la porte ouverte aux autres pathologies.
Sur les 31 000 morts, en France, il y en a à peine 10 000 qui sont morts de la COVID-19, soit à peu près autant qu’une grippe annuelle. C’est beaucoup mais ce n’est pas une pandémie.
Je me demande comment on devrait appeler les morts du cancer qui sont 100 fois plus nombreux, chaque année. Il faudra inventer un autre nom que pandémie. Et le cancer, cela fait plus de 50 ans que l’on n’a pas pris la moindre mesure, faute d’avoir voulu chercher la cause.
J’ose espérer que maintenant que la cause est connue, on fera le nécessaire. Mais ce n’est pas certain car avant que la vérité n’éclate, comme toujours, elle devra passer par trois étapes, c’est la règle du jeu.
Dire qu’aujourd’hui il y a une deuxième vague qui se prépare est faux. Nous avons à peine un petit clapotis au niveau de la mer. Les vrais chiffres le prouvent.
Il ne faudrait tout de même pas qu’à chaque fois qu’il y a des décès dans les EHPAD, on parle du coronavirus. Ce n’est pas d’aujourd’hui que dans les EHPAD, il y a une succession de décès.
En définitive, la peur tue bien plus de gens que la COVID-19 et cette peur, on l’entretient par des chiffres qui sont faux. On peut se poser la question : pourquoi ?