Tout ceci est nécessaire, utile, indispensable, mais pendant ce temps le cancer continue à tuer et il est à notre porte. Mais, à notre porte, nous avons les moyens de ne pas le laisser se construire.
Aujourd’hui, l’Europe vient de débloquer 750 milliards pour une relance économique. Moi, Michel Leclerc, je me mets à disposition le procédé pour empêcher le cancer d’entrer chez nous et de le stopper s’il est entré par la fenêtre.
Réguler les excès des pressions atmosphériques ne coûte que la volonté de se protéger. Décidément, l’invisible fait des ravages mais il faut raison garder et se poser la vraie question.
Relancer l’économie par de l’argent que l’on n’a pas et qu’il faudra rembourser, me paraît fragile, sans qu’il y ait la santé. Il est tout de même curieux que, dans notre pays, seul l’argent semble être déterminant : on n’aura jamais une bonne économie sans une bonne santé. Et tous les plans de relance que l’on voudra faire ne serviront pas à grand-chose si l’on ne protège pas d’abord la vie.
Nous laissons entrer en France, par charters entiers, par bateaux de croisière, des virus que l’on n’a pas « commandés ». On a pris l’habitude d’attendre et de voir venir et l’on agit quand c’est trop tard. Il est impensable que l’on continue de faire atterrir en France des avions de tous pays sans en assurer un contrôle et une désinfection totale avant l’atterrissage, par la chaleur à 35° couplée par des rayons ultraviolets. Il en est de même pour les bateaux de croisière et autres transports internationaux.
On nous impose de mettre des masques ; cela veut dire que le virus est là. Mais que fait-on pour détruire les nids de virus, là où ils se trouvent, là où ils se développent, dans tous les secteurs où on utilise le froid ? Rien n’est fait pour détruire ces nids de frelons.
Dans la réunion qui s’est tenue à Bruxelles pour libérer 750 milliards : pas un mot pour éradiquer le virus, ni les cancers, ni les grandes maladies et les morts par pollution.
Mais quel jeu joue-t-on ? Il est vrai qu’en France on préfère soigner qu’éviter. Mais l’addition du laisser-faire et de soigner ensuite est si lourde que les 750 milliards attribués par l’Europe ne sont qu’une goutte d’eau qui ne compensera pas les effets, ni du virus, ni des cancers, ni des grandes maladies.
La fabrication des billets de banque est devenue une industrie, mais ce n‘est que du papier. Faire un plan de relance sans se fixer les objectifs, sans parler de production, sans parler de charges sociales ou fiscales : n’est-ce pas un peu un rêve qui malheureusement tournera au cauchemar ? Je pourrais comprendre s’il n’y avait pas de solution. On connaît les causes, on connaît la solution et on va faire s’évanouir les 750 milliards dans un désert qu’on n’arrêtera même pas.
On dira que je suis pessimiste. S’il y a quelqu’un qui n’est pas pessimiste, c’est bien moi. Il n’y a pas une seule personne dans mon entourage qui puisse dire le contraire. Il faut reconnaître qu’il faut une sacrée dose d’optimisme pour penser, une seule seconde, que l’on s’en sortira sans éradiquer les causes.
Bravo Michel….j’aime tes commentaires et tes analyses réalistes….. tu as toujours été optimiste….
À bientôt peut-être
Roger