Non, parce que la sagesse, le bon sens, mais aussi et surtout le soleil, parviendront à éviter que ce virus ne puisse, une fois encore, attaquer le corps humain.
- Il faut le détruire là où il peut être encore, là où il peut encore vivre, là où il fait froid et encore davantage, là où l’on travaille au froid tel que dans les abattoirs
- Il faut mettre toutes les embuscades nécessaires sur son chemin. Certes, je me répète, mais la méthode Coué est parfois nécessaire ! Le chemin qui est emprunté par les virus semble être celui inverse du soleil car, en fait, ce sont ses rayons qui peuvent les tuer.
Ce chemin doit compter de nombreux couloirs sanitaires, que ce soit dans les métros, dans les supermarchés, partout où nous nous déplaçons ; il faut les empêcher de nous atteindre. Tous ces lieux doivent être équipés de lampes à ultraviolets et, si possible, surtout en hiver, chauffés à 40 °. Nous savons que ces virus meurent en 3 minutes sous les rayons ultraviolets.
J’ai peine d’ailleurs à croire que les hôpitaux n’en soient pas dotés, ce qui éviterait peut-être beaucoup de maladies nosocomiales.
- Dans le cas où nous serions atteints, une simple gaine chauffante pour réchauffer l’air ou l’oxygène que nous respirons, doublée d’une lampe à ultraviolets, pourra mettre fin au voyage du virus dans le corps. La vie, la sécurité, l’angoisse et le risque de l’hôpital, en valent bien la peine. C’est une boîte à outils bien précieuse.
Dire qu’il y aura une deuxième vague, c’est engendrer la peur, une peur paralysante. On nous dit que le virus continue à circuler aujourd’hui et qu’il est toujours présent. C’est possible, mais il est totalement inoffensif. Personne ne mourra des nouvelles contaminations de ce virus.
Il n’y aura pas de deuxième vague de virus, non pas en respectant les distanciations ou les masques, mais en faisant le nécessaire pour le détruire là où il se trouve et spécialement au froid.
Je voudrais tout de même vous dire également que, s’il n’y aura pas de deuxième vague par ce virus, il y aura encore et encore, en permanence, le terrible fléau des cancers. Et pourtant, aujourd’hui nous savons que pour y mettre fin, seul un régulateur de pressions atmosphériques peut en être le vecteur.
Réguler la pression atmosphérique à 1013 millibars, c’est réduire à 99 % la survenue du cancer et à 80 % sa progression, pour ceux qui en sont atteints.
J’ose espérer que le nouveau gouvernement prendra à bras le corps toutes ces possibilités pour sauver les Français et même au-delà de nos frontières.