On a déjà eu bien du mal à soigner les vrais malades du Covid-19. Sera-t-il nécessaire de soigner les bien-portant ? Ils seront bientôt plus nombreux que les vrais malades.
Les virus que l’on sait soigner, les cancers que l’on sait éviter, et soigner pour ceux qui en sont atteints, ne justifient pas un laisser-aller qui se généralise. L’Etat en est l’agent responsable en payant systématiquement ceux qui ne travaillent pas et ceux qui ne veulent pas travailler.
Tester systématiquement tous les Français est une aberration et ne servira strictement à rien. On dirait que pour être bien-portant on n’en serait pas moins malade ! On dirait qu’il n’y a pas eu assez de malades et de morts. Ceux qui aujourd’hui sont infectés par le virus Covid-19, n’ont aucun risque car le virus a perdu toute sa dangerosité, grâce au soleil d’ailleurs.
Non, je crois surtout qu’on veut organiser la peur. Ce n’est pas la peine d’aller la chercher, elle existe déjà et croyez-vous que l’attitude du gouvernement de payer des salariés sans qu’ils aient travaillé, soit une bonne chose ? Toutefois, je suis d’accord qu’on les paye pendant le confinement qui a été organisé par l’Etat faute de compétence des scientifiques.
En fait, la solution du test systématique va engendrer encore beaucoup de monde dans les hôpitaux, des gens qui n’ont rien demandé, qui ne risquent rien et qui ne font rien risquer aux autres. Décidément, de bonnes raisons de l’Etat se transforment en mauvaises résolutions.
Aujourd’hui, dans le cas du Covid-19, on compte ceux qu’on a trouvés par dépistage et l’on dit : « il y a encore beaucoup de Covid-19, l’épidémie n’est pas terminée ».
Voilà, en fait, où l’on veut en arriver. On va isoler ceux qui n’ont rien demandé et ceux qui n’ont rien ou, en tous cas, qui n’ont aucune dangerosité, ce qui créera encore du chômage partiel. Aucune donnée mathématique ne prouve sa dangerosité en France. D’ailleurs, ceux qui aujourd’hui rentrent à l’hôpital, sous suspicion de Covid-19, en sortent dans les trois jours qui suivent.
Il est possible qu’il y ait 20 à 30 millions de Français qui aient été contaminés par ce virus. Sur ces millions de personnes, il y a eu 30 000 morts dont nous sommes responsables pour ne pas avoir fait ce qui était nécessaire, c’est-à-dire faire respirer aux patients de l’oxygène, voire de l’air, à 40°.
Par incompétence, on leur a fait respirer de l’air ou de l’oxygène à 18°. C’est justement le terrain de jeu du Covid-19. On a accéléré sa dangerosité, ce qui a conduit inévitablement à des morts.
Si je vous écris ceci aujourd’hui, c’est simplement parce que j’en suis intimement convaincu. Mais, comme d’habitude, on a continué à soigner comme si le Coronavirus était comparable à d’autres maladies. On a oublié qu’il mourait à 60° et qu’à 40°, il était complètement inoffensif.
Je sais, on va rigoler dans les chaumières en disant : ce Leclerc ne connaît rien. J’ai déjà entendu cette raillerie à chaque fois que j’ai combattu un monopole.
Mais le monopole de la médecine a entraîné de telles habitudes qu’on n’a pas cherché ailleurs. Cette profession n’a pas à avoir une position monopolistique qui fait la pluie et le beau temps au détriment de l’intérêt général, au détriment des citoyens.
Aujourd’hui, pour écouler les stocks de masques, on insiste pour qu’on porte le masque et moi je dirai : « à bas les masques », car ce n’est qu’une question d’intérêt aujourd’hui.
Plus grave encore, les masques risquent fort d’entraîner d’autres maladies beaucoup plus graves que le Covid-19. Ils réduisent de 20% l’apport d’oxygène dans le sang car ce que l’on respire n’est plus de l’air mais un mélange de Co2 et d’air. Et la réaction de l’oxygène avec le Co2 peut provoquer de l’oxyde de carbone.
Garder un masque pendant une demi-heure est sans conséquence, comme les chirurgiens le font pendant les opérations, mais au-delà, il risque d’être mortel.
S’il y a aujourd’hui plusieurs milliards de masques en stock, nous allons les détruire, une fois de plus.
Le masque, la distanciation, que l’on a imposés, est d’un ridicule qui n’honore pas ceux qui l’ont fait. On va bientôt vivre comme des barbares, on va creuser le fossé entre les sociétés qui ne peuvent plus s’embrasser.
Halte aux masques et halte aux tests qui ne feront que développer une maladie imaginaire.