Moi, je dirai que mourir en silence et dans l’indifférence est une preuve de notre incompétence et aussi une preuve du leitmotiv « je ne sais pas ».
Bref, on ne sait peut-être pas mais on aura distribué ou dépensé plus de 1 000 milliards d’euros en France pour un virus qu’on n’a pas voulu ou qu’on n’a pas su tuer, ou que l’on a empêché de tuer.
Ces dépenses auraient pu ne pas exister. Et regardez combien cela aurait fait pour votre pouvoir d’achat et votre bien-être. Tout ceci est le résultat d’un monopole et d’une industrie médicale de la mort, je dirai même un monopole de l’argent, qui tue, tout en le sachant, et par habitude et en espérant que cela continue.
Je vous jure que je vais aussi casser ce monopole et, si la politique se met en travers, il faudra alors casser les barrages, il faudra renvoyer tous ceux qui commandent, dans leurs foyers.
Aujourd’hui, je ne mettrai même pas en cause l’incompétence, qui est pourtant grave, mais plutôt le désir d’argent en profitant des plus faibles.
Laisser et faire mourir des centaines de milliers de Français par orgueil n’est pas digne de notre civilisation. Alors, on me dira que les autres pays ne font pas mieux, peut-être, mais la France est mon pays et là où il y avait des monopoles, je les ai cassés.
Il faut casser le monopole des profiteurs, qu’ils soient du monde médical ou autre. Il faut laisser les médecins travailler et faire tout ce qui est possible comme prévention. Laissons les médecins exercer leur métier et respecter le serment d’Hippocrate qu’ils ont prononcé.
Il y a eu 30 000 morts en France du Covid-19 et près de 400 000 morts dans le monde. Il y a, chaque année en France 10 000 morts de la grippe, 220 000 morts par le cancer et 200 000 morts de plus par des maladies cardio-vasculaires.
Et si l’on évitait seulement 80 % de toutes ces maladies, cela empêcherait une véritable escroquerie à la personne et ce, depuis des années et des années.
L’Etat doit payer très chers ceux qui trouvent et pas seulement ceux qui cherchent pour fabriquer des médicaments sans résultats probants. On ne peut plus continuer à développer l’industrie de la mort alors qu’on n’est même pas capable de conserver nos propres industries qui produisent, qui apportent un pouvoir d’achat, qui apportent une vie de société. On les a laissé partir et on les a remplacées par les industries de la mort, une industrie prospère sans résultats probants.
Soigner serait crédible si on avait tout fait pour éradiquer la cause. Bien sûr il pourra toujours y avoir un accident, mais cela ne représente que 1 à 2 % de morts. Alors, pour tous les virus, pour tous les cancers, il faut prendre des dispositions dès aujourd’hui pour en éradiquer la cause et leur faire barrage. Et nous savons le faire mais l’habitude a encore pris le dessus. La facilité domine le monde occidental, alors que ce n’est pas le cas dans les nations orientales.
Et je ne peux pas croire que parmi tous les médecins ou tous les chercheurs, il n’y en ait pas au moins un qui revienne à la raison. En un mot, trouver n’est pas seulement le rôle des chercheurs. Nous avons tous en nous un idéal, une capacité pour trouver, que ce soit dans l’industrie ou dans le médical.
Le médical a voulu prendre le pouvoir en mettant l’homme à sa botte. Nous venons de voir, à l’occasion du Covid-19, la puissance de ces comités scientifiques, l’incompétence de l’OMS mais aussi la faillite des services de renseignements français et de tous les autres pays.
O Dieux !, jamais ce qui vient de se produire n’aurait dû arriver. Il n’est pas pensable qu’il n’y ait pas eu une personne sur cette terre ayant le titre d’Officier de Renseignements pour prévenir ce qui se passait et se préparait en Chine. L’attitude du gouvernement chinois envers le médecin chinois qui a osé dire la vérité, aurait dû faire réfléchir et attirer l’attention.
De grâce, Monsieur le Président, je ne suis ni un dieu, ni un aigle, mais suffisamment compétent pour proposer que cela ne se reproduise jamais. Nous savons ce qu’il faut faire en prévention. Il faut mettre fin à des habitudes, mettre fin à la facilité et pourtant, ce que je propose et si simple.