Je ne suis qu’un petit enfant de la balle au milieu de l’humanité.
Alors, pourquoi, monsieur Macron, y a-t-il encore des monopoles, et non des moindres !, et spécialement dans le médical. Et pourquoi, Monsieur Macron, y a-t-il encore des spéculateurs !
Et pourquoi, Monsieur Macron, y a-t-il des Français qui ne travaillent pas et qui sont lourdement payés ! Et pourquoi, Monsieur Macron, ne vous opposez-vous pas à tous ces problèmes !
Et pourquoi, Monsieur Macron y a-t-il autour de vous nombre d’irresponsables en politique comme en médical !
Pourquoi, Monsieur Macron, avez-vous quitté, avec armes et bagages, le gouvernement de Monsieur Hollande, si ce n’est que pour faire la même chose, la même politique, la même irresponsabilité ! Pourquoi, Monsieur Macron, avez-vous recherché la présidence de la République si vous ne vouliez rien changé d’essentiel y compris sur les fondamentaux de la République !
Et pourquoi, Monsieur Macron, n’avez-vous pas eu le courage de renverser la table du financement du social qui empêche la France de vivre ! C’est ce qu’attendaient les Français de votre part.
Il va falloir aujourd’hui, Monsieur le Président, non pas boucher des trous mais planter des jalons et des arbres qui vont pousser. Il va falloir faire revenir ceux qui ont quitté la France et qui souhaiteraient revenir mais pas dans les conditions actuelles.
En fait, notre industrie ne s’est pas détruire d’elle-même, on l’a détruite, ce n’est pas pareil.
Vous savez, Monsieur le Président, tous les présidents ont eu leur croix à porter. Mais vous, Monsieur le Président, vous n’écoutez pas la voix du bon sens.
Pourquoi, Monsieur Macron, ne cherchez-vous pas la grandeur de la France, le bonheur des français ! Pourquoi, Monsieur Macron, laissez-vous s’installer la peur ! Il y a avait déjà la peur du lendemain, il y a maintenant la peur du matin et du soir.
Et pourquoi, Monsieur Macron, les Français ont-ils peur de retourner au travail ! Un chômage de 5 ou 6 millions de personnes serait catastrophique pour la France.
Tout ce que vos services ont inventé : la distanciation, les masques, au travail comme à la cantine, dans les supermarchés, dans la rue, tout cela ne sert plus à rien. Le soleil a fait son travail.
La peur n’évite pas le danger, dit-on, mais elle crée le danger.
Réveillons la France, sans peur, sans des artifices innombrables qui ne servent à rien. Le Covid-19 est bien parti. Vous non plus vous n’avez pas cherché à le poursuivre ; alors il reviendra peut-être un jour, encore plus vivant. On ne laisse pas partir un danger de ce genre avant de l’avoir tué, on le tue sur place. Un ennemi qui a tant détruit ne doit pas vivre.
Et quitte à me répéter mille et une fois, la peur partira avec le travail et le social ne survivra que par l’impôt.