Va-t-on, pour des intérêts financiers et particuliers :
- refuser de protéger la France de toutes les grandes maladies en éradiquant la cause et en mettant fin à l’hécatombe de 220 000 morts en France, chaque année ?
- refuser à l’État une manne financière de 500 milliards l’année et peut-être davantage, en protégeant les Français de la perte de leur potentiel d’énergie initial qui est grignoté par l’énergie des pressions atmosphériques, un tiers des jours de l’année ?
- refuser de donner aux Français, pour 1 000 €, le droit de vivre en pleine forme et beaucoup plus longtemps ?
- ne pas laisser la liberté aux Français de se protéger, en invoquant des raisons administratives médicales ?
Je refuse d’être l’otage d’un monopole qui étouffe la France en laissant les laboratoires concevoir et multiplier des substances ou médicaments qui soignent, peut-être, mais n’éradiquent pas la cause du mal, par intérêts financiers.
Je mettrai toutes mes forces pour donner le droit de vivre, aux Français, en pleine forme.
Dans quelques jours, je publierai la liste du matériel nécessaire ainsi que les schémas techniques et électriques que n’importe qui, accompagné individuellement d’un artisan, pourra se faire installer dans son lieu de vie ou de travail.
Et s’il est nécessaire, j’utiliserai, à mes frais, de grands panneaux publicitaires pour dire aux Français : ne mourrez plus du cancer ou des grandes maladies ainsi que des souffrances insupportables qu’elles provoquent.
J’ai peine à croire que la cause n’ait pas été découverte plus tôt.
Et ceci s’adressera aussi à tous ceux qui sont atteints de ces grandes maladies et qui pourront ainsi éviter leur développement.
De toute manière, le principe de précaution de jacques Chirac doit, dès à présent, être appliqué.