Etre la Nation la plus compétitive du monde, la plus sociale, et rafler toutes les médailles dans les compétitions sportives, mais aussi être la plus compétitive au plan économique, sur tous les marchés internationaux et surtout vis-à-vis de la Chine qui ne fera plus peur, c’est aussi être la Nation la plus sociale du monde.
Orgueilleux, non, mais fier : oui.
Par ma découverte des causes des grandes maladies et du cancer, on pulvérisera les records sportifs, les records sociaux, les records économiques.
Certes, ils nous rattraperont peut-être, dans 4 ou 5 ans mais, d’ici-là, on aura encore fait des progrès.
Etre le premier de la classe, c’est avoir de nombreux avantages, c’est celui d’être reconnu, c’est celui d’être influent le plus longtemps possible.
Ce renouveau, ce nouveau monde, doit profiter avant tout à l’homme et à la femme.
Nous ne sommes pas en guerre, sauf sur le plan économique. Il n’est peut-être pas utile que les autres pays profitent de nos découvertes, tout de suite. Cela sera de toute façon décalé de plusieurs années.
Mais, attention, ces solutions, cette découverte, est celle d’un peuple et doit profiter au peuple et surtout pas à quelques spéculateurs sans foi ni loi qui se servent du travail d’un peuple.
Je ne suis qu’un Gaulliste et notre Premier Ministre, et peut-être notre Président, s’en souviendront aujourd’hui plus que jamais.
Le bon sens, la persévérance, l’humilité, le travail protégé et déchargé, la force de persuasion par l’innovation et par la découverte, par un charisme de combat : tout ceci sont des atouts qu’il faut inculquer à nos enfants.
Bien vivre, c’est un objectif. Oui, mais par le travail et parfois par la chance.
La terrible vision du futur ne doit pas faire peur, tout au contraire, elle doit éviter les erreurs et les oublis.
Etre le premier n’est pas un défaut. On n’a pas le droit d’être à la remorque et dépendant. C’est cela la liberté, la fraternité et l’égalité.