Pour réduire le travail des femmes ayant la charge d’enfants, ou de ceux s’en occupant, il faudrait trouver une solution. Il va de soi que ce sera sans réduction de salaire. Il y a plusieurs solutions :
- en réduisant le temps de travail d’une heure par jour
- en leur donnant un jour par semaine.
Le travail des femmes en question
Il ne faut pas se le cacher, l’objectif est bien de relancer les naissances en France et réduire l’absentéisme qui représente un coût fabuleux de 170 milliards par an.
Tout ceci a un coût, mais un coût indispensable pour l’avenir de la Nation. Aujourd’hui, ce sont les émigrés qui compensent le manque de naissances dans notre pays. L’absence d’émigrés conduirait notre pays à avoir une économie en berne de près de 5 points l’année.
Il faut réfléchir à ce problème. Ce que je propose coûtera bien moins cher que les inconvénients.
Il faut faciliter le travail des femmes qui, à la maison, sont souvent mises à contribution et, plus encore, avec des enfants.
Même si l’enfant est une récompense en soi, il engendre un coût matériel financier ; toutefois, il est aussi un accélérateur de l’économie.
Il restera à déterminer qui paiera le surcoût afférent à l’entreprise.
Réellement, quand on regarde le coût de l’absentéisme, ne serait-il pas plus judicieux de résoudre le problème en amont ? On critique tout le temps les mamans qui, bien souvent, passent des nuits blanches auprès de leurs enfants. Elles ne sont pas des machines à produire, il faut les considérer avec humanité.
Le moral des Français n’est pas au plus haut mais la majorité des Français vivent correctement. Mais on oublie trop souvent les 10 millions de français qui peinent, qui souffrent et qui n’ont pas eu une certaine chance dans leur vie. Ne pensez-vous pas qu’il serait utile pour tous d’accepter de faire un bout de chemin de part et d’autre afin d’éviter les désastres d’avoir 10 millions de pauvres dans notre pays ?
Cela est aussi valable pour le problème des retraites. Là-aussi il faudra faire un bout de chemin de part et d’autre.
En revanche, il faut absolument mettre fin aux abus que j’appellerai privilèges dès lors que ce n’est pas le chemin que prend le pouvoir politique… évidemment par ce qu’il constitue lui-même des privilégiés.
Les mamans sont laissées pour compte, condamnées à la double de peine du travail à l’entreprise et du travail à la maison. On parle d’égalité hommes et femmes mais arrêtons de dire n’importe quoi : y a-t-il une égalité à la maison ? Ne pensez-vous pas que nous soyons vraiment hors des clous ? Ce n’est pas cela la République.
Et pendant ce temps, on se diversifie, on se dépense, on se cache, derrière des discours de laïcité. La laïcité n’est qu’un élément de la République et elle ne doit pas occulter les éléments de la vie de chaque jour.
Le vivre ensemble n’est pas facile que ce soit la présence des émigrés, que ce soit la présence des gens de couleur, même s’ils sont là depuis longtemps.
Aujourd’hui, nous commençons à aller chercher des émigrés pour accomplir nos tâches, spécialisées ou pas. Cela devait arriver.
Je ne sais pas si ma demande sera acceptée un jour mais ce que je demande, ce n’est pas exceptionnel, c’est économique car les 179 milliards du coût de l’absentéisme, on pourrait peut-être le réduire.
Ne serait-il pas préférable de résoudre les problèmes plutôt que de les subir ? Ce serait l’intérêt de tous. Au final, ce serait du gagnant-gagnant, sur le plan économique, sur le plan social et au plan humain et peut-être aussi que nous aurions à la clé davantage de naissances. C’est le moteur de toute civilisation.