C’est la règle mathématique : le moins cher, le plus sûr, le plus beau, le plus naturel. Pour une fois, personne ne se disputera sur la forme et l’on résoudra le problème par une force naturelle, par un dispositif naturel, sans médicaments, sans intervention chirurgicale.
Et oui, on l’avait oublié parce qu’invisible, sans ressenti apparent mais mille fois plus dangereux que le chaud et le froid. Ces monstrueux anticyclones qui font la pluie et le beau temps, notre bien-être et notre déficience au travail en entraînant une fatigue qui se répercute inévitablement sur notre productivité et donc sur notre pouvoir d’achat.
Ils sont au-dessus de nous, ils passent et repassent combattant les cyclones mais, à chaque fois, l’Ankou et sa faux coupent quelques têtes, et toujours les plus faibles ou les plus âgés.
Il faut aussi bien se souvenir que les pressions atmosphériques n’ont rien à voir ni avec la pesanteur, ni avec l’attraction terrestre. Ils dérèglent notre vie. Il est vrai qu’ils apparaissent avec plus ou moins de violence et un seul élément peut en mesurer l’activité, c’est le baromètre. C’est le seul qui apporte une visibilité.
Mais comme pour toute chose, il y a une solution. Ce n’est pas de les détruire, mais de s’en protéger. Et, en plus, elle est toute simple. Ceux qui croient qu’il est possible de les détruire avec une bombe atomique sont des orgueilleux qui ne connaissent pas la réalité des choses.
J’ai une multitude de défauts mais j’ai une qualité, c’est d’apporter la solution quand je critique. C’est pourquoi plus de 170 000 personnes lisent mes textes sur Twitter. Le gouvernement ferait bien de s’y abonner, si ce n’est déjà fait. Ce sont les solutions les plus simples que j’essaie de donner.
A vrai dire, la solution est mon leitmotiv et c’est toujours dans l’intérêt du peuple.