Une loi qui, en son âme et conscience, n’est pas conforme à l’intérêt général, ne peut en aucun cas être appliquée par un Tribunal quel qu’il soit.
Les gouvernements ont-ils assuré l’intérêt général ? Nous ont-ils protégés des nouvelles découvertes dans le cadre des violences faites à notre corps par les éléments naturels ?
Quand on connaît la cause et que l’on ne la pallie pas, on passe de responsable à coupable. Bien sûr que l’on peut soigner les causes de manières naturelles et non par des médicaments fabriqués par des laboratoires peu soucieux de chercher la cause mais surtout attachés à fabriquer de l’argent.
Ce n’est pas le cas de tous les laboratoires, soyons honnêtes, mais les gens sont tous plus ou moins atteints par cette maladie de l’argent. Et je n’oublierai pas parmi les coupables les fonds de pension et les spéculateurs.
La simplicité, le naturel, sont rarement les solutions adoptées et pour cause. Mais quand on peut combattre ou se protéger des forces naturelles, il faut utiliser le naturel.
Oui, j’ai souvent gagné devant les tribunaux car la Justice avait vu en moi la défense de l’intérêt général. Cela n’a pas été qu’une fois mais 1 650 fois. En France, la Justice est probablement la meilleure institution qui existe. Des hommes pour juger des hommes n’appliquent jamais des lois qui soient contraires à l’intérêt général. Il faut qu’on se le dise.
En revanche, tout est fait en France pour bloquer les innovations, les créations, tant les lobbies sont puissants. Oui, l’intérêt général a beaucoup de mal à aboutir. Défendre la liberté est un sacerdoce. Défendre l’intérêt général est un chemin de croix.
On traite facilement de fous ou d’inconscients ceux qui osent, ceux qui prennent des risques, ceux qui agissent. Et pourtant, ce sont eux qui font la France. Seule, la justice peut réparer les erreurs commises et imposer le bon sens.