La protection de la vie ne se fera qu’avec un intérêt économique. En fait, le respect de la vie n’intéresse personne, ni les Etats, ni les financiers, à part peut-être ceux qui les subissent.
Payer pour la protection de la vie : serait-ce un acte honteux ? Certainement. Aussi, à toute protection, il importe d’ajouter un intérêt économique compensatoire.
Protéger la santé de la fatigue ne pourra se faire qu’avec un intérêt de productivité. Assurer la protection pour la durée de vie ne peut aussi se faire que par intérêt économique, pour payer la retraite. Assurer un développement des naissances ne se fera encore que par intérêt économique car un enfant de plus c’est, à moyen terme, une production supplémentaire.
Et pour ce faire, il faudra exporter plus et consommer davantage de matériels dans un intérêt de bien-être.
Demander la protection contre les variations de pressions atmosphériques, c’est vouloir réduire la fatigue, c’est prolonger la vie et le tout, en très bonne santé. Et oui, que cela plaise ou ne plaise pas, c’est accroître la productivité de 15 à 20 % et ce, tout naturellement, sans usure et sans fatigue.
Ce ne sera pas non plus un miracle, mais il s’agira simplement de se protéger comme on le fait du trop chaud ou du trop froid ; on m’a toujours dit qu’un corps sain était à l’abri des maladies tout simplement parce que les maladies s’attaquent plus facilement à un corps où les défenses naturelles n’existent pas.
Dans très peu de temps vont se développer des appareils de régulateur de pression atmosphérique qui pourront d’ailleurs être couplés, soit à un radiateur, soit à un climatiseur avec quelques modifications structurelles des appartements et des lieux de travail.
Voilà un investissement très faible qui permettra l’accroissement important de la productivité. Mais cet accroissement devra aussi être partagé entre celui qui travaille et celui qui utilise cet accroissement de productivité. Dans ce domaine comme dans bien d’autres, le bon sens devra triompher, dans un intérêt réciproque.
Ce n’est pas une action artificielle, c’est tout simplement une défense naturelle.
Alors, on dira, une fois encore « d’où vient cette idée de Leclerc ? ». C’est tout simplement la volonté de vivre mieux, plus longtemps et sans fatigue ; c’est aussi se mettre sous un parapluie pour se protéger des maladies de toutes sortes qui nous tombent du ciel et dont on ne connait pas toujours la cause.
Et tout ceci pour vous, pour nos enfants et aussi pour le sport où ce sera l’occasion de nouveaux records.
Qui va payer cet investissement minimal pour tant de résultats ? Il me paraîtrait juste que l’Etat fasse cet effort d’investissement car pour lui, plus de productivité, c’est plus de TVA et aussi de CSG. C’est ce que l’on pourrait appeler un rapport de 1 à 10.
Et quand le processus sera engagé, il ne coûtera qu’un iota dans le prix d’un appartement, à peine 2 000 €. Quant aux salariés, pour les locaux de travail dont on a vu l’intérêt de travailler au chaud et de rafraîchir en été, cette protection supplémentaire permettra, tout au long de l’année, un gain de productivité tel que pas un seul patron ne refusera ce mini investissement.
C’est du gagnant-gagnant pour tout le monde. Quant au résultat essentiel : c’est la vie que l’on protège.