Nous serons donc, au 31 décembre 2019, une dette de la France à 2 435 milliards, soit 120 milliards de dettes supplémentaires rien qu’en 2019 ; c’est 81 200 € par ménage, c’est-à-dire la valeur d’un studio en province.
La dette de la France que notre gouvernement laisse filer
Contrairement à tout ce qu’on nous dit, le pouvoir d’achat perdra réellement entre 3 et 5%. Le taux de croissance réel frôlera le négatif.
Je peux comprendre que du côté des dépenses rien ne puisse plus être fait tant la demande est importante. Il est vrai que dans les bilans de l’Etat, la dette ne se trouve pas dans les mêmes colonnes. Et l’on s’habituera à se servir de la dette.
Tout ceci aura une fin et je pense que ni Monsieur Macron, ni Mme Lagarde, ne le souhaitent mais ils sont assujettis à des pressions considérables. Et si l’on continue ainsi, on va rapidement devenir la proie des Chinois et de quelques autres ; ce sera la fin de l’Europe. L’Europe est au ralenti sur le plan économique.
Le G20 constatera le résultat mais n’apportera aucune solution et pourtant, il y en a une : mettre fin à la possibilité des pays d’avoir des banques qui se servent sans contrepartie et sans garantie.
Oui, il faut casser le jouet avec lequel tous les pays s’amusent. Et pour y parvenir, il faut accroître la production, et l’exportation, et la consommation intérieure, par un accroissement du pouvoir d’achat de 22% en moyenne. On va me dire : mais qu’en fera-t-on de cette production ? En supprimant les charges sociales, nous pourrons baisser les prix de 15 à 20% sur les produits et les services et accroître ainsi le pouvoir d’achat de 22% en moyenne.
Il faut changer notre philosophie économique. Il faut produire si l’on veut dépenser. Il faut accepter les techniques et les moyens de production compétitifs et énergétiques. Il faut accepter l’utilisation du thorium en quantité minime, chez chacun d’entre nous, pour produire notre puissance nécessaire. Ceci aura pour effet de diviser le coût de l’énergie par dix.
Il faut accepter d’accroître notre productivité par le nombre, par la qualité, par la puissance des travailleurs, qui peut s’accroître de 15 à 20% si l’on accepte de réguler la pression atmosphérique.
Mais où va-t-il ce Leclerc ? Où trouve-t-il ces idées que certains estiment absurdes ? Simplement par le bon sens.
On arrivera au stade où pour produire plus il faudra travailler moins longtemps.
Il faut aussi, en toute réalité, accepter le rallongement massif de la vie mais de la vie en très bonne santé. C’est pour moi l’intérêt général qui doit primer sur tout autre. Et l’Etat aujourd’hui préfère imposer la misère, le chômage, la pauvreté. Mais pourquoi donc ? Nous savons tous, tous les Français le savent : sans taux de croissance positif, on descend dans les catacombes.
En fait, le gouvernement préfère aujourd’hui se rendre sur une autre planète. Mais là-encore, il n’y aura que les riches qui pourront s’y évader. Et si notre planète flambe pour ne pas avoir fait ce qui était nécessaire, il pourrait se produire ce qui se passe avec de l’eau : si la température est trop forte, elle s’évapore.
Je crois pouvoir vous dire que notre Président n’en dort plus. Il est bien le seul.