C’est la mondialisation qui englobe la France. C’est comme le soleil qui se lève, il est tous les jours au rendez-vous. Vouloir combattre la mondialisation, c’est essayer d’empêcher la marée qui monte et qui descend.
La mondialisation comme moteur pensez-vous
Et, comme toujours, c’est chez soi que les problèmes existent. C’est chez nous qu’il faut résoudre les problèmes et s’adapter à une mondialisation qui n’a pas que des défauts. Les difficultés sont internes à la France et il faudra rentrer dans le rang et suivre le mouvement.
La mondialisation des religions, cela dure depuis deux mille ans. La mondialisation du commerce, cela fait plus de mille ans.
La compétitivité due à la mondialisation, cela fait plus de cinq cents ans, en fait, depuis que le commerce international existe.
La mondialisation des idées ? Elle a toujours existé et permis d’échanger ou de se concerter.
La mondialisation, c’est aussi la découverte, pour le meilleur et pour le pire.
En fait, la terre tourne sur elle-même et autour du soleil, c’est le mouvement perpétuel.
La mondialisation est dans la nature du temps.
N’est-ce pas plutôt l’homme qui dérègle la mondialisation au profit ou au détriment des uns et des autres ?
La mondialisation, c’est davantage de social à venir, plus de santé, en fait : plus de vie et de durée de vie. Ne pas entrer dans la mondialisation est donc contre nature. C’est l’ambition, l’orgueil de l’homme, mais aussi l’argent, qui la rend difficilement vivable.
Elle est comme la nature qui rappelle souvent à l’ordre. La mondialisation peut apporter un plus à l’homme par la concertation sur le climat que l’homme a volontairement fait dériver, mais qui est en mesure aussi de réguler : le désert, par exemple.
Ce n’est pas la mondialisation qui provoque l’avancée des déserts à raison de 18 m2 à la seconde. Au contraire, les techniques, l’énergie, permettront de faire reculer le désert.
L’homme est sur Terre pour travailler et vivre de son travail. Il est là pour faire ce qui est possible grâce aux techniques. Il doit apprécier la mondialisation et ce qu’elle apporte.
Non, ceux qui refusent la mondialisation, ce sont ceux qui ne défendent pas le travail et qui préfèrent exploiter ceux qui travaillent. Ce fut l’esclavage d’un autre temps, c’est le fait d’un Etat qui ne fait pas ce qu’il faut pour protéger le travail qui est un trésor, qui est l’intelligence qui permettra de maîtriser les excès de la nature.
L’homme doit veiller à son environnement. C’est tout l‘intérêt du combat que nous menons pour l’utilisation de l’hydrogène mais aussi pour le développement de l’énergie produite chez soi et non dans des usines dangereuses.
L’hydrogène est un produit naturel qui est partout. Pour le produire, il y a de multiples moyens, dont l’électricité. C’est pour cela que je demande que l’énergie soit produite chez chacun. C’est la solution d’avenir à laquelle les écologistes ne pourront jamais s’opposer parce qu’on aura supprimé les risques du nucléaire par le thorium.