Les morts des catastrophes actuelles et à venir, qu’elles soient naturelles ou artificielles, sont de la responsabilité de l’Etat. A force d’inaction sa responsabilité devient coupable. Rassurez-vous, l’homélie sera financée avec votre héritage.
Personne n’aura écouté
Tous les gouvernements ont eu la larme à l’œil mais rien n’a été décidé pour éviter ces catastrophes climatiques ou industrielles. Ces catastrophes vont s’accélérer et personne n’a pourtant voulu écouter Monsieur Nicolas HULOT .
Faudra-t-il que la Méditerranée s’évapore et que l’on puisse la traverser à pied pour que l’on comprenne que ces catastrophes ne proviennent pas des pays d’Afrique du Nord mais du Sahara qui progresse de 18 m² à la seconde ? Cela va s’accélérer et, pendant ce temps, la calotte glaciaire fond à raison de 10 m² à la seconde.
Les populations du pourtour du Sahara sont des émigrés en puissance que nous ne pourrons recevoir. Oui, il faut accepter l’immigration, mais celle des marchandises en provenance de ces pays en échange de l’arrêt de l’immigration fuyant ces pays pour lesquels nos gouvernants n’ont pas voulu faire le nécessaire face à l’avancée des déserts.
1 000 m² de désert supplémentaires, c’est 10 émigrés en plus
Le monde possède aujourd’hui la technicité nécessaire pour donner à ces pays une nouvelle vie en combattant les déserts. Cette nouvelle vie permettra à tous ces pays de vivre chez eux avec leurs traditions, leurs cultures.
Oui, il faut remettre 10% des déserts en cultures, surtout quand 10% de la population mondiale a faim.
Nous leur avons donné l’indépendance et rien n’a été fait pour les aider à devenir des pays économiquement fiables depuis.
De l’eau : il y en a partout là-bas, sous le désert. Il suffit de la pomper et de donner à ces pays les techniques et le matériel nécessaires pour cultiver, chaque année, plusieurs millions d’hectares sur le pourtour du Sahara. L’eau se reconstituera avec les cultures.
Si l’on veut conserver notre vie, il faut donner à ces pays, ou plutôt à ces habitants 100 milliards € par an pendant 20 ans. C’est le prix à payer, c’est-à-dire une « goutte d’eau » finalement dans le monde des finances internationales et quand on sait que le budget annuel de l’armement est de 2 000 milliards chaque année pour l’ensemble du monde… nous avons de la réserve.
La chaleur, le désert, les fourneaux sont les armes les plus redoutables qui puissent exister et rien n’est fait pour les contrer.
La guerre contre les déserts c’est la paix
C’est une guerre ou une croisade qu’il faut mener. Cette guerre-là est celle de la paix et de la nourriture pour le monde entier, surtout quand on sait que la population de l’Afrique sera de 4 milliards d’âmes avant la fin de ce siècle.
“A vouloir jouer avec le feu, on pourrait très bien se brûler les doigts et peut-être toute l’humanité. Pour ma part, ce n’est pas un risque à prendre mais un espoir.”
Michel Leclerc