On se plaint de l’immigration mais on ne cherche pas à aplanir la cause de l’immigration. C’est comme pour toutes les maladies : on préfère les médicaments à une résolution concrète de la cause. Cela rapporte plus.
Pour réduire l’immigration il faut remonter à la cause première
Pour l’immigration, c’est la même chose que pour les médicaments à la différence près que soigner l’immigration coûte très cher et ne résout pas le problème. Alors, va-t-on enfin décider de financer la réduction de la cause première de l’immigration ?
Serait-on à ce point des lâches à ce sujet ? Les émigrés ne demandent qu’une chose : pouvoir vivre décemment dans le pays où ils sont nés.
Il aura fallu la peur de ne pouvoir survivre au réchauffement climatique en Europe pour accepter enfin de financer la réduction de la cause.
Oui, soyons au moins honnêtes, on entend sans cesse « Oh, les pauvres gens », agissons donc dans leur intérêt, qui est aussi le nôtre, à nous Européens, car la cause principale du réchauffement climatique, c’est en fait le désert, c’est leur pays en Afrique.
Nous savons à présent ce qu’il faut faire, réduire ces déserts, mais nous savons aussi que cela coûtera 16€ par mois par Européen et pendant 20 ans parce que, depuis un siècle, on n’a que puiser leurs richesses et l’on n’a rien fait.
Les conséquences sont lourdes. Les politiques, poussés par les populations, tentent de résoudre quelques problèmes financiers, mais ils sont aussi lâches que des millions de Français et d’Européens. Ils crient tous et rejettent l’immigration. Mais ce sera contraints et forcés que nous allons devoir tous faire pour qu’ils puissent vivre chez eux, dans leur pays, au milieu de leur famille.
Oh ! Qu’avons-nous fait pour être ce que nous sommes et ce que vous êtes, les privilégiés européens ? Nous avons eu la chance de naître en pays tempéré ; eux, sont dans un pays tropical avec toutes ses conséquences.
Il est temps de se poser la question : oui, il faudra 100 milliards, chaque année, pendant 20 ans. C’est la somme nécessaire pour que ceux que l’on appelle les pauvres gens puissent retourner et vivre dans leur pays.
Un plan pour réduire les déserts d’Afrique
Quelle économie pour nous qui aurons aussi la chance de survivre, car il faudra 15 à 20 millions d’autochtones pour réaliser les 10 pare-feu climatiques de nouvelles cultures qu’il faut mettre en place.
On nous a menti. L’école ne nous a rien appris ; mais les planètes tournent autour du soleil et nous avons eu la chance, nous, d’habiter dans un pays tempéré. Eux, les émigrés, n’ont pas eu cette chance.
Ce que je propose servira à ce que ces populations puissent vivre décemment. Ce que je propose, c’est du travail pour eux, chez eux, pour produire et vendre le fruit de leur travail.
Et pendant ce temps, chez nous, on écrase le travail par des charges honteuses. On n’a même plus le sens du social. Le travail, c’est tout ce que demandent les émigrés, chez eux.
En fait, un peu moins de lâcheté ne ferait pas de mal et nous pourrons, nous, les citoyens européens, nous regarder dans une glace quand nos politiques sont déjà derrière la glace, par intérêt.
Contre l’immigration Emmanuel Macron détient la clé
Monsieur le Président, s’il vous plaît, agissez ! Ne faites pas comme d’autres qui s’écoutent parler sur la question. Monsieur le Président, acceptez les nouvelles découvertes pour que toutes ces populations puissent redémarrer et aller plus vite que nous. Pour cela il faudra utiliser l’hydrogène et le thorium qui sera indispensable à ces populations pour être compétitif.
Michel Leclerc