0,25% de progression des taux d’intérêts, c’est ce que prévoit la FED et encore davantage en début 2019. La croissance française ne va pas résister. En voici le mécanisme…
La croissance française : un chiffe clés pour le pouvoir d’achat
0,25% de progression des taux d’intérêts, c’est 5 milliards de plus à payer sur les intérêts de notre dette. C’est aussi 0,5% de taux de croissance en moins.
Des chiffres, des chiffres ! Bien sûr, ce ne sont que des chiffres mais ce sont des chiffres qui confirment la baisse de notre pouvoir d’achat, chiffres qui, ajoutés aux impôts et au coût de l’énergie, entraîneront, de surcroît sa baisse de 3 à 5% à la fin 2018.
Ce n’est pas catastrophique mais ce n’est pas ce qui était prévu, et moins de pouvoir d’achat, c’est aussi moins de rentrées fiscales. Il faudra encore compensé par un nouveau système. Lequel !
Pourquoi le gouvernement n’agit-il pas ?
Comment voulez-vous que tous ceux qui sont les perdants ne se révoltent pas ? Et cela pourrait très bien se traduire dans les élections européennes ; en tout cas, c’est le grand portail qui leur est ouvert. Certes, les perdants ne feraient rien de mieux, peut-être, mais il est difficile de croire qu’ils feraient plus mal.
L’entêtement de notre gouvernement en est la cause. Le bon sens a du mal à percer.
“Ce n’est pas faire baisser les impôts que je demande, c’est faire en sorte qu’il y ait plus de travail. Car pour avoir du travail, il faut des commandes et ce n’est pas en baissant le pouvoir d’achat qu’on aura des commandes, et donc de la croissance pour la France.
Pour avoir des commandes, il faut donc baisser les prix par le coût de revient, tout en augmentant les salaires. Et au risque de me redire, pour réduire les coûts, il faut supprimer les cotisations patronales tout en préservant le financement de la Sécurité sociale. Nous verrons alors nos exportations croître, notre balance commerciale rééquilibrée, nos rentrées fiscales s’accroître.
C’est très bien de baisser l’impôt sur les sociétés mais cela représente si peu qu’il vaudrait mieux supprimer les charges qui n’ont pas leur place dans notre système économique. Il faut les transférer sur le budget de l’État.”
Michel Leclerc
Ce que l’on demande, c’est de pouvoir le faire librement sans qu’il soit nécessaire de négocier avec une administration hors sol qu’est l’UE de Bruxelles! La France est sous tutelle et doit rester dans “des clous” que d’autre impose et critique en permanence ce qui n’assure pas la confiance sur l’avenir!
La France est en mesure de pouvoir montrer à l’Europe une orientation nouvelle.
Pour l’instant c’est l’inverse, la France est sous tutelle! Et brade en continue sa souveraineté!
Luttez avec nous