Ils seront plus de 60 à la recherche du « trésor » que proposait déjà Jean de la Fontaine. Ce trésor, c’est le désert, et tous ces pays en sont limitrophes.
Un trésor contre le désert
Ce sont à ces pays-là, sous réserve de résultats, qu’il faut confier les milliards de la COP.
Ce sont eux, et eux seuls, qui peuvent réduire les plaques chauffantes, voire brûlantes, de la planète, en les cultivant mètre par mètre, grâce à l’énergie solaire et, par conséquent, à l’eau qui s’y trouve.
Ces capitaux doivent être des investissements avec un retour de rentabilité. Ces espaces gagnés sur le désert doivent être rentables. Elles doivent être des terres cultivables, à forte rentabilité.
Les Pays-Bas ont gagné sur la mer pour cultiver des fleurs et faire de l’élevage. Il faut qu’il en soit de même pour ces pays avec d’autres fleurs, d’autres fruits, d’autres légumes, des céréales, plus compatibles avec le climat.
Ceci est possible. Israël l’a fait, le Burkina-Faso l’a fait. Alors, ces 60 pays limitrophes du désert, peuvent et doivent le faire dans leur intérêt, dans celui de la planète, dans l’intérêt de la future population de la planète.
L’impossible d’hier est devenu possible aujourd’hui.
Le Cameroun était appelé le jardin de l’Afrique. Pourquoi ne l’est-il plus aujourd’hui ? Le Maroc, la Tunisie, l’Egypte, ont été des jardins ou plutôt des pépinières de tous les arbres fruitiers possibles dans ces pays.
Bien sûr, tout ceci est dans l’intérêt de chaque pays pour son développement économique et surtout pour la création massive d’emplois sur place.
Si vous êtes en accord avec ce projet, signez la pétition pour faire bouger le gouvernement et appliquer le plan TRES de relance économique par la hausse du pouvoir d’achat.