Malgré tout le respect dû à Messieurs les maires des petites et moyennes villes de France, force est de constater que le centre des villes se vide au profit des zones limitrophes et périphériques. Ne manque-t-il pas à chacune une véritable locomotive commerciale ?
Une locomotive commerciale pour sauver les centres-villes
A-t-on peur de la modernité ? On a connu la période où les locomotives n’avaient pas le droit de cité dans certaines cités où le chemin de fer est passé à côté.
Il en est de même pour les grands centres commerciaux qui vont s’installer dans les périphéries, faute de place dans les centres villes.
Ne faudrait-il pas, dans le plan d’urbanisation des villes et aider les commerces de proximité, prévoir au centre de ces villes des surfaces suffisantes pour installer des centres commerciaux avec des parkings et avoir ce que l’on appelle des locomotives commerciales qui attirent les consommateurs mais aussi les petits magasins. On y trouverait de petits magasins spécialisés, des artisans, etc.
C’est ainsi que se créerait la ruche !
La vie économique, la vie artisanale, créent une nouvelle vie mais aussi des recettes fiscales. Ces trains, ces grandes surfaces, ont été trop longtemps exclus du centre des villes sous prétexte de protéger le petit commerce et c’est le contraire qui s’est produit.
Il n’est pas trop tard pour résoudre le problème, faut-il en accepter le principe.
Oui, au centre d’une ville, il faut un train qui siffle, un clocher qui sonne, des voitures qui roulent, un théâtre pour apporter la culture, des cinémas pour se distraire.
Il faut avoir le courage d’inverser le principe en prévoyant l’administratif, l’hôpital, le Palais de Justice, les stades, à l’extérieur ou à la périphérie de la ville et laisser les activités de chaque jour au centre de la ville.
Signez la pétition pour faire bouger le gouvernement et appliquer le plan TRES de relance économique par la hausse du pouvoir d’achat.