Il y a 250 morts et 750 blessés par jour du côté Ukrainien et il y en a, sinon plus,
du côté russe.
Mais, en Ukraine, il y a aussi 400 morts par jour par le cancer et 4 millions de
blessés, en permanence, dus au cancer.
Il y a, en France, 600 morts du cancer, par jour, et 5 millions de blessés dus au
cancer.
Il y a dans le monde 60 000 morts du cancer, par jour, et 500 millions de
blessés dus au cancer.
Tout ceci est dramatique et fait tourner à plein régime l’industrie de guerre et
l’industrie des laboratoires.
Ne serait-il pas nécessaire d’y mettre fin ? La guerre est le jouet de Poutine, le
cancer est le jouet des variations des pressions atmosphériques.
Le départ, la mort de Poutine, sont déjà programmés. La fin des cancers et des
virus est aujourd’hui programmée, faudra-t-il encore convaincre par l’évidence.
Et l’évidence nécessite de mettre fin à l’incrédulité du monde scientifique et
politique.
Ce qui est affolant aujourd’hui, c’est que nous avons les moyens d’y mettre fin
avec la valise « Hygée », régulateur des pressions atmosphériques.
Et l’on s’étonne de ne pas mettre fin à la guerre en Ukraine, en donnant à ce
pays les armes et les munitions nécessaires que l’OTAN peut obtenir
immédiatement. Et l’Ukraine n’en demande pas davantage.
La paix avec Poutine est un rêve. Elle devra lui être imposée.
Mettre de l’ordre dans sa tête
Pour bien vivre, il faut d’abord mettre de l’ordre dans sa tête.
Que ce soit dans sa propre tête ou dans celle des dirigeants, l’ordre doit être
établi.
Ce n’est pas toujours facile. Il faut aussi mettre de l’ordre dans la nature, que
ce soit dans les déserts, que ce soit dans les pressions atmosphériques, qui
nous tuent. Sans oublier de mettre de l’ordre dans notre système immunitaire
que nous devons protéger.
Tous les désordres conduisent à la chienlit et souvent à la souffrance, voire à la
mort. Sans ordre, sans autorité, c’est laisser le champ libre aux abus de la
nature, de la spéculation, et aux désordres économique et sanitaire.
C’est aussi pour résultat des dettes excessives et, à court terme, la
dépendance.
Le désordre de quelques-uns conduit trop souvent à une perte de liberté des
autres. Et comment faire ?
– pour ce qui est de sa propre tête, c’est à chacun de remettre de l’ordre
dans ses pensées, dans ses ambitions, dans le respect des autres et
même dans son travail et dans ses loisirs.
– Pour ce qui est du sanitaire dont votre santé dépend, il faut se battre sur
les contraintes et abus que nous impose la nature.
– Pour ce qui est de l’économie, nous n’arriverons à rien si l’on ne met pas
fin aux monopoles, si l’on ne protège pas le travail qui est chargé comme
un mulet.
– Pour ce qui est de la paix, c’est un rapport de force et de dissuasion et ce
n’est pas toujours la loi du nombre, surtout quand elle a en face d’elle
des pays désordonnés.
Là où l’ordre règne, tous les hommes ont la chance de vivre en pleine forme et
en paix.
