Trois mois de travail perdus plus trois mois de remise en route, ce sera cinq ans d’années blanches dans les bilans. Il n’y aura aucun bénéfice. Et qui dit sans bénéfice, veut dire sans investissement. On dit que l’on peut rattraper le temps, mais le temps perdu ne se rattrape jamais.
Non, je serai plus simple et je ne dirai pas cela. C’est par une secousse sismique que l’on pourra reprendre le chemin de la compétitivité. Nous allons alors, à ce moment-là, attirer chez nous des millions de touristes, des dizaines d’investisseurs, français ou européens parce que la France sera devenue un pays où il fera bon travailler et où les prix seront ultra compétitifs. On aura oublié les conséquences du dumping de la Chine et des autres pays asiatiques. Nous aurons repris avec notre industrie, avec notre artisanat, avec notre commerce, le chemin de la compétitivité mais aussi de la paix sociale par l’accroissement du pouvoir d’achat considérable.
Non, ce n’est pas une déflation, c’est simplement un curseur que l’on a déplacé. Mais aussi, par notre volonté d’arrêter les déserts et la pollution qui évitera que les virus ne se réveillent, qui évitera la pollution par l’utilisation de l’hydrogène, nous serons parvenus à une économie de marché concurrentielle.
Le virus que nous subissons actuellement est un lanceur d’alerte, volontairement ou pas, l’avenir nous le dira. Comme il est curieux de constater que la grippe naît toujours en Chine, que les virus proviennent toujours de la Chine : est-ce un problème de position géographique ou est-ce une volonté délibérée… ? Il ne s’agit peut-être uniquement de par sa position géographique où l’hiver arrive trois mois avant nous, période où les virus prolifèrent et s’arrête trois mois avant nous quand la chaleur met les virus en sommeil. Ils peuvent dès lors reculer pour devenir plus agressifs ensuite ou se transformer en simple grippe saisonnière.
A partir de ce processus, ne serait-il pas utile d’empêcher qu’ils ne se réveillent ?, et au cas où ils se réveilleraient, de les tuer avant qu’ils ne nous tuent, en recréant les conditions dans lesquelles ils ne résistent pas pour faire en sorte qu’ils s’endorment pour l’éternité ?
À un moment où l’on se dit si puissants, si ingénieux, ne pourrait-on pas réaliser ces conditions climatiques d’une manière simple, mécanique, en sachant que ces virus meurent tous entre 55 et 60° ?
On n’y arrivera certainement pas par des vaccins parce que ces virus peuvent muter d’une année sur l’autre mais que, dans tous les cas ils meurent entre 55 et 60°. C’est donc par la chaleur et seulement par la chaleur que l’on parviendra à éviter des hécatombes. Ce ne sera certainement pas par un médicament que l’on n’a pas, mais simplement en inhalant de l’oxygène ou de l’air aux alentours de 40°. Cela suffira pour neutraliser tous les virus.
Il serait aussi raisonnable de conforter notre système immunitaire. Notre économie ne pourra pas supporter, tous les ans, un confinement de trois mois, pas plus d’ailleurs qu’elle ne pourra éternellement supporter le cancer auquel on s’est habitué et qui entraîne 720 morts par jour en France et quelques centaines de milliers par jour dans le monde. Ce n’est plus une pandémie mais une réduction massive de nos forces. Ceci est d’autant plus affligeant que l’on en connaît la cause et que l’on en connaît aussi la solution.
Ce n’est pas avec les moyens préconisés mais dont nous ne disposons pas d’ailleurs…, que l’on résoudra le problème. Pour le cancer, c’est mettre en place un régulateur de variation de pressions, pour le virus, c’est simplement réchauffer l’oxygène ou l’air ambiant à 40°.
Trois mois de confinement, c’est une facture de plusieurs milliers de milliards d’euros. La leçon servira peut-être parce que l’on a eu peur mais la peur n’évite pas le danger quand on ne se protège pas.
Alors, je lance un cri d’appel à tous nos dirigeants. S’ils n’ont pas prévu de masques contre les virus, ils ont encore moins prévu de dispositif contre les cancers. Est-ce une bonne économie ?, est-ce que l’économie peut s’en sortir dans ces conditions-là ?, des conditions répétitives. Il va bientôt falloir travailler une journée pour faire survivre deux jours.
Le coût de ce je propose est si insignifiant qu’il semble faire plus peur qu’un virus.