Tout ce qui a été fait

Les masques, c’est bien, mais c’est totalement inefficace pour éradiquer le virus.

Les tests, oui, peut-être, mais c’est trop tard, en général.

Le couvre-feu, utile.

Le confinement n’apporte rien sur le fond.

Les vaccins : « autant en emporte le vent »…

Depuis deux mois, rien n’a réussi à réduire les cas qui ont progressé de 20 000 à 40 000 cas de contamination par jour.

Et encore plus grave si l’on constate le nombre de réanimations. En un mot, rien ne semble arrêter la COVID

On attend avec impatience le soleil d’été. En fait, on attend les rayons ultraviolets du soleil. Apparemment, il n’y a qu’une chose qui marche, c’est le soleil d’été et quand il partira en septembre ou octobre, tout continuera comme avant, avec ou sans vaccin.

Ne pensez-vous pas qu’il faille faire autre chose que ce qui a été fait sur les conseils des scientifiques médicaux ? Le vaccin, dans le meilleur des cas, n’aura protégé que 40% des Français, et c’est la solution, à ce jour, en France.

En parallèle, on dira, au mois de juillet, que c’est le vaccin qui a agi quand le cas de contamination s’effondrera.

D’ailleurs, l’an passé, il n’y avait pas de vaccin  et le nombre de cas s’est effondré durant les trois mois d’été.

Alors, soyons honnêtes, pour une fois et cherchons ensemble à appliquer la seule solution qui fonctionne, l’éradication du virus par les rayons ultraviolets, en hiver comme en été.  En été, ce sera le soleil qui tuera le virus… sauf là où il ne pénètre pas… En fait, en hiver comme en été, il faudra utiliser les lampes à ultraviolets partout où le soleil ne rentre pas. La lampe à ultraviolet sera le substitut du soleil.

LE VIRUS S’ADAPTE AU CLIMAT DES PAYS

En Europe, le virus se développe entre moins 5° et plus 20°. Dans d’autres pays, tel que le Brésil et les pays chauds,  le virus se développe entre 10° et 30°.

En Europe, le virus commence à décliner à partir de 20°. Dans les pays chauds, il ne décline qu’à 35° ou, tout du moins, il n’est plus dangereux.

En Europe, le virus meurt entre 30 et 40°. Dans les pays chauds, il ne meurt qu’à 50°.

Mais dans tous les pays, quels qu’ils soient, le virus meurt en quelques minutes en présence d’ultraviolets suffisamment puissants, y compris au Brésil.

Mais attention, au Brésil comme ailleurs, quand il fait trop chaud, le virus se réfugie là où le soleil ne frappe pas et là où la température est au-dessous des seuils de vie ou de mort, pour lui. Au Brésil, comme chez nous, les espaces réfrigérés sont extrêmement nombreux car le Brésil est un pays en voie de développement. Il faut donc compenser, au Brésil comme ailleurs, l’absence de soleil, là où il ne pénètre pas, par le soleil artificiel que constituent les ultraviolets.

Le virus est un être vivant. Il est comme l’homme, il s’adapte au pays, à la chaleur comme au froid. Soyons au moins aussi malin pour le piéger là où il se trouve !

QUAND LA PEUR ENTRAÎNE LA PANIQUE.

Quand la peur entraîne la panique, toute décision n’est plus, ni celle du bon sens, ni celle de l‘évidence ; elle entraîne un blocage de l’esprit. Et là, pour les politiques, il y a la façade et l’intérieur de l’immeuble :

Il y a ce que l’on montre et il y a ce qu’il faudrait faire. Il y a ce qu’on fait et il y a ce qu’on ne veut pas faire parce que les scientifiques l’on dit. Il y a ce qu’on dit aux Français et il y a la réalité qu’on veut cacher. Et plus les politiques s’expriment, plus ils ne disent pas la vérité. Mais, on les croira… provisoirement. Et un beau matin, on fera une volte-face devant l’évidence.

Aujourd’hui, chaque parole de nos dirigeants est sujette à contestation, à caution, à jugement.

On ne croit plus et l’on tombe dans la panique qui est évidemment plus grave.

Aujourd’hui, quand on nous dit qu’il fera beau, on ajoute systématiquement : peut-être. Aujourd’hui, nous sommes sous le poids du poison, on ne cherche même plus à s’en débarrasser. On cherche seulement à soigner les dégâts qu’il a provoqués.

Aujourd’hui, il y a le musicien et l’on a ajouté des haut-parleurs qui ne transmettent qu’une partie de la musique et souvent avec de fausses notes.

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