Se plaindre

Il faut arrêter de se plaindre et de se faire passer pour des malheureux.

D’ailleurs, ceux qui réclament, ce ne sont pas les plus pauvres. Et pour se justifier, ils disent que leurs réclamations sont destinées aux pauvres. C’est faux.

Nous sommes dans un pays de merveilles, un pays de cocagne. Et nous nous plaignons toujours.

On veut faire de nous des zombies, des automates sans nous donner les moyens de ne plus l’être. Notre vie est un fatras de déconvenues, d’oublis intentionnels.

Notre bien-être, c’est avant tout de ne plus être malade et de ne plus vieillir.

La médecine a refusé de voir les choses en face parce que les causes sont invisibles mais bien réelles.

Bien vivre, c’est d’abord vivre en pleine forme et très longtemps.

Ne trichons pas sans cesse en mettant les causes sur autrui. Faisons en sorte de les neutraliser.

On a créé la Sécurité Sociale, on a créé les mutuelles, qui coûtent des fortunes.

De grâce, prenons le problème là où il se trouve. Régulons les causes qui mettent en péril nos constantes et nous économiserons, chaque année, des fortunes.

Il y a des baleines qui vivent jusque 500 ans. Il y a des arbres millénaires et nous, nous nous contentons de 83 ans de vie en moyenne. Il n’y a pas de quoi être fier.

Et cette vie que nous avons : est-il normal d’être sans cesse malade et de vieillir dès le premier jour de notre naissance ?

Alors, courage, Français et Françaises. Vous avez trouvé le moyen de mettre un radiateur pour vous chauffer. Alors il faudra installer un régulateur, à vil prix, pour vivre.

www//hygeeleregulateur.fr

Cela suffit

Je ne supporte plus que l’on traite les Français de paresseux et de fainéants. Mais que font ceux qui le disent, pour changer les choses ?

Nous allons, ensemble, montrer que la France est encore bien vivante. Nous allons redonner du souffle au travail.

Non, nous ne sommes ni fainéants, ni paresseux. Et ceux qui l’écrivent sont peut-être les plus paresseux et les mieux payés. Il faudra peut-être y remédier !!!

La liberté, c’est aussi le travail qui n’est pas imposé mais désiré. Bien sûr, c’est un rêve, n’est-ce pas ? C’est ce que l’on m’a dit quand j’ai cassé les monopoles des pompes funèbres, de la distribution automobile et de la distribution des carburants.

Alors, continuons à casser le monopole de la médecine. Non pas des médecins, mais du Conseil de l’Ordre. Bien sûr, ils ont le droit de vivre mais ils n’ont pas à nous imposer des médicaments pour soigner alors qu’il faut éviter d’avoir à soigner.

 

www//hygeeleregulateur.fr

 

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